(Romain Roy / Catherine Plewinski / Jean-Luc Raunicher / Julie Navillod / Paul-Henri De Le Rue / Edouard Jonville) Double Mixte signe un partenariat avec le Medef de Haute-Savoie ©moveonmag
Le 25 septembre, Double Mixte représenté par l’un de ses co-fondateurs Paul-Henri De Le Rue, par Romain Roy, Président de Greenweez et du club 74 de Double Mixte signait un partenariat avec le Medef de Haute-Savoie représenté par son Président Jean-Luc Raunicher.
Move-On, dans un article d’avril 2018 que vous pouvez retrouver ici, vous présentait Double Mixte grâce à une interview de Paul-Henri De Le Rue. La mission de cette entreprise est d’une part d’accompagner les athlètes de haut niveau dans l’élaboration et la mise en place de leur projet de vie (comment allier un projet sportif et professionnel). D’autre part, cette initiative permet aux entreprises de bénéficier du savoir faire managérial du sport et ses valeurs, à travers l’embauche d’athlètes, mais aussi des soirées conférences mélangeant les deux populations.
Move-On, dans un article d’avril 2018 que vous pouvez retrouver ici, vous présentait Double Mixte grâce à une interview de Paul-Henri De Le Rue. La mission de cette entreprise est d’une part d’accompagner les athlètes de haut niveau dans l’élaboration et la mise en place de leur projet de vie (comment allier un projet sportif et professionnel). D’autre part, cette initiative permet aux entreprises de bénéficier du savoir faire managérial du sport et ses valeurs, à travers l’embauche d’athlètes, mais aussi des soirées conférences mélangeant les deux populations.
De la même manière, il ne faut pas penser que les athlètes sont des pièces rapportées qu’il faut caser par charité pour reconversion dans les entreprises.
Romain Roy et Jean-Luc Raunicher soulignent l’intérêt bien compris que les entreprises ont à accueillir des athlètes capables de leur apporter le regard et l’engagement qu’ils ont développés tout au long de leur carrière sportive ainsi que leurs valeurs, même si cet apport n’est pas immédiatement quantifiable et, peut-être, principalement pour cette raison qui vient bousculer l’organisation traditionnelle d’une entreprise.
Julien Ingrassia, co-pilote de Sébastien Ogier, Catherine Plewinski, médaillée olympique de natation, Vincent Defrasne, champion olympique de biathlon, Edouard Jonville, 3° aux championnats d’Europe d’aviron et en pleine ascension sportive assistaient à cette soirée au cours de laquelle Marc Amerigo donnait une conférence intitulée « Comment créer performance et harmonie en toutes circonstances ».
Le titre est en général une promesse, celle-ci est tenue quand le contenu la dépasse. Ce fut le cas. Marc Amerigo nous fit découvrir non pas l’Amérique mais un continent trop souvent oublié ou caricaturé : l’humain.
La démarche que fait partager Marc et qu’il met en œuvre dans la réalisation des projets auxquels il participe consiste à permettre à chacun de descendre en soi afin de constituer une équipe, une « tribu » liée, soudée.
Romain Roy et Jean-Luc Raunicher soulignent l’intérêt bien compris que les entreprises ont à accueillir des athlètes capables de leur apporter le regard et l’engagement qu’ils ont développés tout au long de leur carrière sportive ainsi que leurs valeurs, même si cet apport n’est pas immédiatement quantifiable et, peut-être, principalement pour cette raison qui vient bousculer l’organisation traditionnelle d’une entreprise.
Julien Ingrassia, co-pilote de Sébastien Ogier, Catherine Plewinski, médaillée olympique de natation, Vincent Defrasne, champion olympique de biathlon, Edouard Jonville, 3° aux championnats d’Europe d’aviron et en pleine ascension sportive assistaient à cette soirée au cours de laquelle Marc Amerigo donnait une conférence intitulée « Comment créer performance et harmonie en toutes circonstances ».
Le titre est en général une promesse, celle-ci est tenue quand le contenu la dépasse. Ce fut le cas. Marc Amerigo nous fit découvrir non pas l’Amérique mais un continent trop souvent oublié ou caricaturé : l’humain.
La démarche que fait partager Marc et qu’il met en œuvre dans la réalisation des projets auxquels il participe consiste à permettre à chacun de descendre en soi afin de constituer une équipe, une « tribu » liée, soudée.
Il doit être possible d’affirmer que dans la réalisation de chaque projet la maîtrise technique, l’objectif sportif, scientifique, économique ou autre sert en réalité un objectif supérieur : l’humain.
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Quand Eric Barone bat, avec sa tribu dont Marc Amerigo fait partie, un record du monde de vitesse sur neige à vélo, il ne fait qu’un avec son vélo. Il est le vélo et non un pilote posé sur la machine.
Pour illustrer et appliquer la philosophie de Marc Amerigo, il faut savoir se remettre en question (se transformer en vélo), changer d’angle, s’adapter, se connecter différemment, être adepte du paradoxe et considérer qu’en allant découvrir la lune c’est la Terre qu’on a découverte, vue autrement ; être adepte de la synesthésie, des mélanges de sensations et d’émotions qui naissent, par exemple, de l’écoute de Baudelaire à la barre d’un bateau qui affrontant une mer agitée.
La maîtrise technique permet avant tout une dynamique dans laquelle se projeter, avancer. Il est pour cela indispensable d’être à l’écoute de tous les signes, même et surtout les plus petits.
Alors peut naître l’aventure puisqu’il est impossible de maîtriser tous les paramètres.
Il y a peu, Move-On vous parlait de Kenneth White, des marges. Ce que nous rappelle Marc Amerigo, nous le retrouvons chez les vrais écrivains, chez les artistes qui vous disent qu’il faut descendre en soi pour trouver au plus profond et au plus vrai ce qui nous relie aux autres. À la « tribu humaine ».
Le contraire des « expériences de vie » dont on nous rebat les oreilles.
Ce fut une bien belle soirée. Vive l’aventure !
Pour illustrer et appliquer la philosophie de Marc Amerigo, il faut savoir se remettre en question (se transformer en vélo), changer d’angle, s’adapter, se connecter différemment, être adepte du paradoxe et considérer qu’en allant découvrir la lune c’est la Terre qu’on a découverte, vue autrement ; être adepte de la synesthésie, des mélanges de sensations et d’émotions qui naissent, par exemple, de l’écoute de Baudelaire à la barre d’un bateau qui affrontant une mer agitée.
La maîtrise technique permet avant tout une dynamique dans laquelle se projeter, avancer. Il est pour cela indispensable d’être à l’écoute de tous les signes, même et surtout les plus petits.
Alors peut naître l’aventure puisqu’il est impossible de maîtriser tous les paramètres.
Il y a peu, Move-On vous parlait de Kenneth White, des marges. Ce que nous rappelle Marc Amerigo, nous le retrouvons chez les vrais écrivains, chez les artistes qui vous disent qu’il faut descendre en soi pour trouver au plus profond et au plus vrai ce qui nous relie aux autres. À la « tribu humaine ».
Le contraire des « expériences de vie » dont on nous rebat les oreilles.
Ce fut une bien belle soirée. Vive l’aventure !