Notre critique sur le film Partir un jour
On est allé voir des Partir un jour. Ça commence comme une fuite...ou un retour. Elle s'appelle Cécile. Elle brille dans les cuisines parisiennes, prête à ouvrir son propre restaurant. Le rêve. Le challenge. Mais un matin, le téléphone sonne : son père a fait un infarctus. Elle n’a pas vraiment le choix. Elle saute dans sa voiture et file droit dans le Cher, là où les souvenirs collent un peu aux murs et aux visages qu’on croyait oubliés.
Retour à la maison familiale, où le restaurant routier de ses parents semble n’avoir pas bougé d’un centimètre. Et dans ce décor presque trop familier, elle tombe nez à nez avec Raphaël. L'amour de jeunesse. Celui qu’on n’efface jamais complètement, même derrière un tablier de cheffe étoilée.
Pas besoin d’en dire plus. Vous sentez ? Ce petit frisson, cette impression d’avoir déjà vécu ça quelque part. Et vous n’avez pas encore entendu la musique… "Partir un jour" n’est pas seulement un film. C’est un voyage dans notre mémoire affective. Vous savez, cette “bosse de réminiscence” dont parlent les neuroscientifiques ? Celle qui fait qu’un vieux tube peut vous faire pleurer sans prévenir. Parce qu’il est lié à ce moment précis.
C’est un film qui comprend que la musique populaire, ce n’est pas juste du divertissement. C’est un repère. Une balise dans le temps. Une machine à émotions.
La musique à ce pouvoir de venir nous chercher au plus profond, dans ces couches qui font appellent aux sens, bien plus encore qu’à la tête. Combien de musiques sont associées à des situations de vie bien particulières ? A des moments d’émotions, qu’ils soient joyeux ou déchirants ?
Retour à la maison familiale, où le restaurant routier de ses parents semble n’avoir pas bougé d’un centimètre. Et dans ce décor presque trop familier, elle tombe nez à nez avec Raphaël. L'amour de jeunesse. Celui qu’on n’efface jamais complètement, même derrière un tablier de cheffe étoilée.
Pas besoin d’en dire plus. Vous sentez ? Ce petit frisson, cette impression d’avoir déjà vécu ça quelque part. Et vous n’avez pas encore entendu la musique… "Partir un jour" n’est pas seulement un film. C’est un voyage dans notre mémoire affective. Vous savez, cette “bosse de réminiscence” dont parlent les neuroscientifiques ? Celle qui fait qu’un vieux tube peut vous faire pleurer sans prévenir. Parce qu’il est lié à ce moment précis.
C’est un film qui comprend que la musique populaire, ce n’est pas juste du divertissement. C’est un repère. Une balise dans le temps. Une machine à émotions.
La musique à ce pouvoir de venir nous chercher au plus profond, dans ces couches qui font appellent aux sens, bien plus encore qu’à la tête. Combien de musiques sont associées à des situations de vie bien particulières ? A des moments d’émotions, qu’ils soient joyeux ou déchirants ?
Bande Annonce du film de Partir un jour
Ce film est sorti le 14 mai 2025. Il suffit d’une note. Une intro un peu cheesy. Une mélodie familière. Et boum, on y est : "Partir un jour", sans retour…. Oui, ce refrain des 2Be3, celui qui faisait chavirer les cœurs à la boum de fin d’année.
C’est là que le film dévoile son jeu. Pas juste une comédie romantique ou un drame familial : c’est une comédie musicale qui ose prendre à bras le corps la pop culture des années 90. Juliette Armanet signe une reprise toute en douceur du fameux hit. La chanson devient une caresse. Un souvenir qu’on n’avait pas vu venir.
Et ce n’est pas tout : Dalida, Stromae, Larusso, Claude Nougaro... Chaque chanson raconte un moment. Une émotion. Une époque. Voilà le pari de Amélie Bonnin la réalisatrice du film : transformer notre mémoire musicale en bande-son émotionnelle. Et pendant que les souvenirs chantent, les couteaux s’entrechoquent.
Juliette Armanet dans le rôle de Cécile se retrouve à jongler entre cuisine étoilée et casseroles de campagne. Entre ambitions et attachements. Parce que "Partir un jour" pose cette question universelle : peut-on vraiment tourner le dos à ses racines ? Ou bien finira-t-on toujours par revenir goûter à ce qu’on a laissé derrière ? Une manière de dire "je t’aime", de réparer les liens, de se souvenir. C’est un combat aussi, entre ce qu’on voulait être et ce qu’on est vraiment. Le film cuisine à feu doux cette tension entre modernité et tradition, avec une belle tendresse.
Juliette Armanet surprend par sa performance d'actrice dans "Partir un jour". Elle incarne avec justesse et émotion le personnage de Cécile, partagée entre sa vie parisienne et ses racines provinciales.Son duo avec Bastien Bouillon, qui interprète Raphaël, est empreint de complicité et de nostalgie.
Move-On magazine avait rencontré Juliette Armanet lors de sa première tournée, qui était déjà une révélation en 2023. Mais depuis la sortie de son tube "Dernier jour du disco", elle a apporté un souffle incroyablement frais et époustouflant, comme nous avions pu le constater lors de sa prestation au festival Musilac en 2023. Elle nous surprend de nouveau. On ne l’attendait pas là, et pourtant : en actrice, elle nous bluffe. Elle rayonne à l’écran.
C’est là que le film dévoile son jeu. Pas juste une comédie romantique ou un drame familial : c’est une comédie musicale qui ose prendre à bras le corps la pop culture des années 90. Juliette Armanet signe une reprise toute en douceur du fameux hit. La chanson devient une caresse. Un souvenir qu’on n’avait pas vu venir.
Et ce n’est pas tout : Dalida, Stromae, Larusso, Claude Nougaro... Chaque chanson raconte un moment. Une émotion. Une époque. Voilà le pari de Amélie Bonnin la réalisatrice du film : transformer notre mémoire musicale en bande-son émotionnelle. Et pendant que les souvenirs chantent, les couteaux s’entrechoquent.
Juliette Armanet dans le rôle de Cécile se retrouve à jongler entre cuisine étoilée et casseroles de campagne. Entre ambitions et attachements. Parce que "Partir un jour" pose cette question universelle : peut-on vraiment tourner le dos à ses racines ? Ou bien finira-t-on toujours par revenir goûter à ce qu’on a laissé derrière ? Une manière de dire "je t’aime", de réparer les liens, de se souvenir. C’est un combat aussi, entre ce qu’on voulait être et ce qu’on est vraiment. Le film cuisine à feu doux cette tension entre modernité et tradition, avec une belle tendresse.
Juliette Armanet surprend par sa performance d'actrice dans "Partir un jour". Elle incarne avec justesse et émotion le personnage de Cécile, partagée entre sa vie parisienne et ses racines provinciales.Son duo avec Bastien Bouillon, qui interprète Raphaël, est empreint de complicité et de nostalgie.
Move-On magazine avait rencontré Juliette Armanet lors de sa première tournée, qui était déjà une révélation en 2023. Mais depuis la sortie de son tube "Dernier jour du disco", elle a apporté un souffle incroyablement frais et époustouflant, comme nous avions pu le constater lors de sa prestation au festival Musilac en 2023. Elle nous surprend de nouveau. On ne l’attendait pas là, et pourtant : en actrice, elle nous bluffe. Elle rayonne à l’écran.
Les avis sur le film Partir un jour
Flower 0478, Allô Ciné, le 17 mai
Bart Sampson, Allô Ciné, le 13 mai
J'ai beaucoup aimé ce film il y a de l'humour les acteurs jouent très bien, l'acteur Bastien Bouillon que j'ai pu voir dans d'autres films je trouve qu'il a beaucoup de talent j'aime bien cette acteur l'actrice chanteuse Juliette Armanet que je ne connaissais pas et une très belle surprise elle chante très bien les chansons interprétés sont très bien choisies et bien chantés j'ai passé un très bon moment allez y ça vaut le coup.
Bart Sampson, Allô Ciné, le 13 mai
Un film réjouissant où la musique est présente, puisque c'est une comédie musicale, mais pas chantée en continu. Donc j'ai aimé la reprise des chansons connues, interprétées avec justesse et à bon escient, le plus souvent dans un esprit bon enfant. Les premiers pas à l'écran de Juliette Armanet sont prometteurs face à Bastien Bouillon très attachant. A voir !
Synopsis du film Partir un jour
Cécile touche enfin du doigt le rêve qu’elle poursuit depuis des années : ouvrir son propre restaurant gastronomique au cœur de Paris. Chef talentueuse, ambitieuse et déterminée, elle est à deux pas de faire de son projet une réalité. Mais alors que tout semble s’aligner, un coup de téléphone vient tout bouleverser.
Son père, resté dans le village de son enfance, vient d’être victime d’un infarctus. Sans réfléchir, elle met sa vie parisienne entre parenthèses et rentre en urgence dans cette campagne qu’elle avait quittée depuis longtemps. De retour dans ce décor figé dans le temps, entre les ruelles familières et les visages du passé, Cécile doit jongler entre inquiétude, souvenirs et responsabilités familiales.
C’est dans ce contexte troublé qu’elle recroise par hasard, son amour de jeunesse. Leurs regards se croisent, les émotions refont surface, et l’évidence s’impose : certaines blessures ne se referment jamais vraiment, et certains sentiments, malgré les années, n’ont rien perdu de leur intensité. Tiraillée entre sa vie rêvée à Paris et les racines qu’elle croyait avoir coupées, Cécile se retrouve face à elle-même. Et si ce retour inattendu n’était pas une parenthèse, mais le début d’une nouvelle histoire ? Entre choix de cœur et appel de la raison, elle devra décider où se trouve réellement sa place et ce qu’elle est prête à abandonner pour enfin être heureuse.
Son père, resté dans le village de son enfance, vient d’être victime d’un infarctus. Sans réfléchir, elle met sa vie parisienne entre parenthèses et rentre en urgence dans cette campagne qu’elle avait quittée depuis longtemps. De retour dans ce décor figé dans le temps, entre les ruelles familières et les visages du passé, Cécile doit jongler entre inquiétude, souvenirs et responsabilités familiales.
C’est dans ce contexte troublé qu’elle recroise par hasard, son amour de jeunesse. Leurs regards se croisent, les émotions refont surface, et l’évidence s’impose : certaines blessures ne se referment jamais vraiment, et certains sentiments, malgré les années, n’ont rien perdu de leur intensité. Tiraillée entre sa vie rêvée à Paris et les racines qu’elle croyait avoir coupées, Cécile se retrouve face à elle-même. Et si ce retour inattendu n’était pas une parenthèse, mais le début d’une nouvelle histoire ? Entre choix de cœur et appel de la raison, elle devra décider où se trouve réellement sa place et ce qu’elle est prête à abandonner pour enfin être heureuse.
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