Notre critique sur le film La Venue de l'avenir

Film La Venue de l'avenir - Abraham Wapler, Vincent Macaigne, Julia Piaton, Zinedine Soualem © Ce qui me meut
On est allé voir "La Venue de l'avenir". Un film poignant. Une fresque familiale où les générations se croisent, se cherchent et finissent par se trouver. Ils ne se connaissaient pas.
Un nom sur une convocation, une date, un lieu oublié : une demeure familiale au passé trouble.
Ils sont venus par curiosité, par devoir, ou peut-être par instinct.
Ce qu’ils vont découvrir changera à jamais leur perception du monde… et d’eux-mêmes.
Quatre cousins éloignés se retrouvent réunis par l’héritage d’une maison en Normandie : Seb (Abraham Wapler), créateur de contenu, Abdel (Zinedine Soualem), professeur de français, Céline (Julia Piaton), ingénieure méthodique, Guy (Vincent Macaigne), apiculteur lunaire, à la sagesse décalée.
Une vieille demeure, abandonnée depuis des années, leur est léguée. Ils ont été désignés, presque malgré eux, pour représenter l’ensemble des héritiers. Mais au-delà des documents notariés et des souvenirs empoussiérés, ils vont pénétrer un territoire bien plus intime : celui des secrets de famille, des cicatrices enfouies… et d’un lien invisible qui les unit.
À mesure que les portes s’ouvrent, que les pièces révèlent leurs trésors cachés, chacun d’eux va devoir faire face à ses origines, à ses vérités, et à cette part d’héritage qui ne se transmet pas par testament. Et s’ils étaient là pour autre chose que l’héritage matériel ? Et si cette maison était le dernier message de leurs ancêtres ? Un chemin vers une mémoire collective, et la naissance de liens éternels. En explorant la demeure, ils découvrent des lettres, des objets anciens, des secrets enfouis.
Les flashbacks les transportent en 1895, où Adèle (Suzanne Lindon), une jeune femme déterminée, quitte sa. Normandie natale pour Paris. Là, elle rencontre Anatole (Paul Kircher), un peintre en devenir, et Lucien (Vassili Schneider), un photographe passionné. Au fil de leurs découvertes, les cousins croisent les figures marquantes de l'époque : Odette (Sara Giraudeau), la mère d'Adèle, Calixte de La Ferrière (Cécile de France), une mécène influente,Claude Monet (Olivier Gourmet), le célèbre peintre impressionniste. Félix Nadar (Fred Testot), le pionnier de la photographie, Victor Hugo (François Berléand), l'écrivain emblématique, Sarah Bernhardt (Philippine Leroy-Beaulieu), la tragédienne renommée, Oncle Théophraste (Vincent Perez), le mentor de Lucien, Fleur (Claire Pommet), une chanteuse envoûtante, Rose (Raïka Hazanavicius), une amie fidèle, Gaspard (Valentin Campagne), un jeune homme rêveur.
Chaque rencontre, chaque révélation, tisse un lien entre le passé et le présent. Les cousins comprennent que leur histoire familiale est un trésor inestimable, bien au-delà des objets matériels.
Quatre cousins éloignés se retrouvent réunis par l’héritage d’une maison en Normandie : Seb (Abraham Wapler), créateur de contenu, Abdel (Zinedine Soualem), professeur de français, Céline (Julia Piaton), ingénieure méthodique, Guy (Vincent Macaigne), apiculteur lunaire, à la sagesse décalée.
Une vieille demeure, abandonnée depuis des années, leur est léguée. Ils ont été désignés, presque malgré eux, pour représenter l’ensemble des héritiers. Mais au-delà des documents notariés et des souvenirs empoussiérés, ils vont pénétrer un territoire bien plus intime : celui des secrets de famille, des cicatrices enfouies… et d’un lien invisible qui les unit.
À mesure que les portes s’ouvrent, que les pièces révèlent leurs trésors cachés, chacun d’eux va devoir faire face à ses origines, à ses vérités, et à cette part d’héritage qui ne se transmet pas par testament. Et s’ils étaient là pour autre chose que l’héritage matériel ? Et si cette maison était le dernier message de leurs ancêtres ? Un chemin vers une mémoire collective, et la naissance de liens éternels. En explorant la demeure, ils découvrent des lettres, des objets anciens, des secrets enfouis.
Les flashbacks les transportent en 1895, où Adèle (Suzanne Lindon), une jeune femme déterminée, quitte sa. Normandie natale pour Paris. Là, elle rencontre Anatole (Paul Kircher), un peintre en devenir, et Lucien (Vassili Schneider), un photographe passionné. Au fil de leurs découvertes, les cousins croisent les figures marquantes de l'époque : Odette (Sara Giraudeau), la mère d'Adèle, Calixte de La Ferrière (Cécile de France), une mécène influente,Claude Monet (Olivier Gourmet), le célèbre peintre impressionniste. Félix Nadar (Fred Testot), le pionnier de la photographie, Victor Hugo (François Berléand), l'écrivain emblématique, Sarah Bernhardt (Philippine Leroy-Beaulieu), la tragédienne renommée, Oncle Théophraste (Vincent Perez), le mentor de Lucien, Fleur (Claire Pommet), une chanteuse envoûtante, Rose (Raïka Hazanavicius), une amie fidèle, Gaspard (Valentin Campagne), un jeune homme rêveur.
Chaque rencontre, chaque révélation, tisse un lien entre le passé et le présent. Les cousins comprennent que leur histoire familiale est un trésor inestimable, bien au-delà des objets matériels.
Bande Annonce du film La Venue de l'avenir
Le film est sorti le 22 mai 2025. C’est une œuvre sensible, portée par l’émotion, qui questionne ce que nous sommes, ce que nous portons… et ce que nous choisissons d’en faire.
Le film nous entraîne dans un fascinant ballet temporel, où le présent et le passé s'entremêlent avec une fluidité remarquable. C'est au rythme lancinant et révélateur des flashbacks que se dévoilent, fragment après fragment, les secrets enfouis d'une lignée, construisant une narration à la fois complexe et profondément humaine. Plus qu'un simple récit, "La Venue de l'avenir" est une méditation profonde sur la transmission.
Il explore avec une justesse bouleversante la manière dont les échos du passé résonnent dans nos vies, non seulement à travers les héritages matériels, mais surtout par le biais des cicatrices invisibles et des legs immatériels qui façonnent notre identité. Le film met en lumière ces fardeaux et ces richesses que nous portons, souvent sans même en avoir conscience, et qui déterminent en grande partie qui nous sommes.
L'œuvre se distingue par sa sensibilité et l'émotion brute qu'elle parvient à susciter. Elle ne se contente pas de raconter une histoire, elle interroge le spectateur sur sa propre existence, le poussant à une introspection sincère. "La Venue de l'avenir" pose des questions essentielles : "Que sommes-nous ?", "Que portons-nous en nous de nos ancêtres, de notre histoire ?", et peut-être la question la plus cruciale de toutes, "Que choisissons-nous d'en faire ?". C'est dans cette dernière interrogation que réside toute la force du film, invitant chacun à prendre en main son destin, à se libérer des entraves du passé tout en honorant la mémoire de ceux qui nous ont précédés.
Grâce à une réalisation immersive et des interprétations nuancées, "La Venue de l'avenir" transcende le simple divertissement pour devenir une expérience cinématographique qui perdure bien après le générique de fin. Il nous rappelle que le futur n'est jamais une page blanche, mais le prolongement complexe et fascinant d'un passé que nous avons le pouvoir de comprendre, d'accepter et, finalement, de transformer.
Le film nous entraîne dans un fascinant ballet temporel, où le présent et le passé s'entremêlent avec une fluidité remarquable. C'est au rythme lancinant et révélateur des flashbacks que se dévoilent, fragment après fragment, les secrets enfouis d'une lignée, construisant une narration à la fois complexe et profondément humaine. Plus qu'un simple récit, "La Venue de l'avenir" est une méditation profonde sur la transmission.
Il explore avec une justesse bouleversante la manière dont les échos du passé résonnent dans nos vies, non seulement à travers les héritages matériels, mais surtout par le biais des cicatrices invisibles et des legs immatériels qui façonnent notre identité. Le film met en lumière ces fardeaux et ces richesses que nous portons, souvent sans même en avoir conscience, et qui déterminent en grande partie qui nous sommes.
L'œuvre se distingue par sa sensibilité et l'émotion brute qu'elle parvient à susciter. Elle ne se contente pas de raconter une histoire, elle interroge le spectateur sur sa propre existence, le poussant à une introspection sincère. "La Venue de l'avenir" pose des questions essentielles : "Que sommes-nous ?", "Que portons-nous en nous de nos ancêtres, de notre histoire ?", et peut-être la question la plus cruciale de toutes, "Que choisissons-nous d'en faire ?". C'est dans cette dernière interrogation que réside toute la force du film, invitant chacun à prendre en main son destin, à se libérer des entraves du passé tout en honorant la mémoire de ceux qui nous ont précédés.
Grâce à une réalisation immersive et des interprétations nuancées, "La Venue de l'avenir" transcende le simple divertissement pour devenir une expérience cinématographique qui perdure bien après le générique de fin. Il nous rappelle que le futur n'est jamais une page blanche, mais le prolongement complexe et fascinant d'un passé que nous avons le pouvoir de comprendre, d'accepter et, finalement, de transformer.
Les avis sur le film La Venue de l'avenir

Film La Venue de l'avenir - Abraham Wapler, Vincent Macaigne, Julia Piaton, Zinedine Soualem © Ce qui me meut
NathalieTbct, Allô Ciné, le 23 mai 2025
Un ravissement du début à la fin ! j'ai adoré suivre la quête des héritiers de nos jours, j'ai adoré me promener dans le Paris de 1892 avec Adèle montée à Paris pour retrouver sa mère dont elle ne sait rien d'autre qu'un portrait et l'adresse d'un notaire. les passages d'une époque à l'autre sont pleins de poésie, les acteurs nous font croire à cette histoire émouvante de filiation. Je decouvre Suzane Lindon et Abraham Wapler, très talentueux tous les deux, beaucoup de présence. Les regards d'Abraham Wapler, waouh.
MULETA, Allô Ciné, le 24 mai 2025
Un film très abouti, où l'originalité du scénario prend tout son sens. J'ai adoré l'histoire, la mise en scène, les décors, avec ce Paris d'aujourd'hui et de 1895. C'est aussi une réflexion sur nos parents et l'empreinte du passé dans nos talents et nos métiers. Le bon tempo du film fait qu'on ne s'ennuie pas. L'esthétisme et la culture sont au cœur de l'histoire. Une belle surprise que je conseille.
Synopsis du film La Venue de l'avenir
En 2025, une trentaine de membres d’une même famille apprennent qu’ils héritent d’une vieille demeure oubliée, abandonnée depuis des décennies. Parmi eux, Seb, Abdel, Céline et Guy, quatre cousins qui se connaissent à peine, sont désignés pour se rendre sur place et faire l’état des lieux.
Ce qui ne devait être qu’une simple formalité se transforme rapidement en une aventure bouleversante. Dans les recoins poussiéreux de la maison, ils découvrent des objets anciens, des lettres, des photographies... et surtout, les traces d’une femme mystérieuse : Adèle, une aïeule effacée des mémoires familiales.
À travers ses carnets et ses clichés, Adèle les entraîne dans un voyage à travers le temps. Partie de Normandie à l'âge de 20 ans, elle débarque à Paris en 1895, en pleine effervescence artistique et industrielle. C’est le temps de l’invention de la photographie, de l’éclosion de l’impressionnisme, de la naissance du monde moderne. En reconstituant son parcours, les quatre cousins plongent dans leur propre histoire. Le face-à-face entre le Paris d’hier et celui d’aujourd’hui, entre 1895 et 2025, les confronte à leurs origines, à leurs choix, à leurs rêves oubliés. Ce qu’ils découvrent bouleversera leur vision du passé et du futur.
"La Venue de l’avenir" est une odyssée intime et collective, un récit sur la mémoire, l’héritage et la manière dont le passé éclaire nos chemins à venir.
Ce qui ne devait être qu’une simple formalité se transforme rapidement en une aventure bouleversante. Dans les recoins poussiéreux de la maison, ils découvrent des objets anciens, des lettres, des photographies... et surtout, les traces d’une femme mystérieuse : Adèle, une aïeule effacée des mémoires familiales.
À travers ses carnets et ses clichés, Adèle les entraîne dans un voyage à travers le temps. Partie de Normandie à l'âge de 20 ans, elle débarque à Paris en 1895, en pleine effervescence artistique et industrielle. C’est le temps de l’invention de la photographie, de l’éclosion de l’impressionnisme, de la naissance du monde moderne. En reconstituant son parcours, les quatre cousins plongent dans leur propre histoire. Le face-à-face entre le Paris d’hier et celui d’aujourd’hui, entre 1895 et 2025, les confronte à leurs origines, à leurs choix, à leurs rêves oubliés. Ce qu’ils découvrent bouleversera leur vision du passé et du futur.
"La Venue de l’avenir" est une odyssée intime et collective, un récit sur la mémoire, l’héritage et la manière dont le passé éclaire nos chemins à venir.
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