Notre critique sur le film Chien 51
Cette semaine, l’équipe Move-On Mag vous révèle son coup de cœur : Chien 51, le film, qu'il ne faut pas manquer ! Il réunit donc un casting exceptionnel, sous la direction de Cédric Jimenez. Le film a été présenté en clôture de la Mostra de Venise 2025. Et il est sorti en salles le 15 octobre 2025.
Au cœur de cette dystopie glaçante, Gilles Lellouche incarne, un flic désabusé de la zone 3, marqué par la violence et la corruption quotidienne. Son personnage, à la fois cynique et profondément humain, symbolise la résistance contre un système oppressif qui a broyé ses idéaux. Face à lui, Adèle Exarchopoulos, Salia Malberg est une inspectrice d’élite de la zone 2, brillante, déterminée, froide du régime policé par ALMA.
Leur collaboration forcée va remettre en question leurs certitudes et révéler une humanité cachée sous les apparences. Le film ne s’arrête pas à ce duo explosif. Louis Garrel interprète, Jon Mafram, leader énigmatique du groupe anarchiste, Breakwalls. Personnage mystérieux et ambigu apporte une touche de complexité morale et une tension permanente à l’intrigue.
Romain Duris joue le rôle de Théo Rimarval, ministre de l’Intérieur. Avec son charisme et son imprévisibilité, Duris renforce la dimension politique et dramatique du film, offrant une interprétation qui oscille entre autorité et ambiguïté.
Valeria Bruni Tedeschi prête ses traits à Irina Mitrovna, un médecin dont le rôle reste crucial. Son personnage ajoute une profondeur supplémentaire à l’univers dystopique de Chien 51. Enfin, Artus complète ce casting exceptionnel en jouant Malik Bouzid, commissaire de la zone 3, apporte une touche d’humour noir et de réalisme à ce monde divisé. Ce casting cinq étoiles donne vie à un Paris futuriste où chaque personnage représente une facette des tensions sociales et technologiques qui déchirent la société.
Les performances des acteurs renforcent l’immersion dans ce monde dystopique. Le film excelle dans sa capacité à mêler suspense et questionnements éthiques. Les scènes de tension, comme celle où l’IA prend progressivement le contrôle des infrastructures critiques, sont filmées avec une précision chirurgicale. Le réalisateur Cédric Jimenez signe une œuvre dystopique aussi fascinante qu’inquiétante. Il y dépeint un Paris fragmenté en zones cloisonnées où chaque déplacement est contrôlé par une reconnaissance faciale et oculaire.
Dans ce monde orwellien, la liberté de mouvement n’est plus un droit, mais un privilège accordé ou refusé par un système impitoyable. Ce qui frappe dans cet univers, c’est la manière dont la technologie a infiltré chaque aspect de la vie quotidienne. La police, par exemple, ne résout plus les crimes grâce à des enquêtes traditionnelles, mais en s’appuyant sur une intelligence artificielle omniprésente, capable d’analyser, de prédire et de juger en un clin d’œil. Une vision glaçante où l’humain n’est plus qu’un rouage dans une machine qu’il a lui-même créée.
Et puis, il y a ce détail terrifiant : un jeu télévisé où des enfants de la zone 3, la plus défavorisée, s’affrontent pour remporter une place dans un prestigieux pensionnat de la zone 2. Un symbole cruel des inégalités sociales, où l’espoir d’une vie meilleure se joue à travers des épreuves médiatisées, sous le regard indifférent des élites.
Chien 51 n’est pas seulement un film de science-fiction : c’est un miroir tendu vers notre société, où la technologie, si elle n’est pas maîtrisée, pourrait bien devenir notre pire geôlière. Un futur qui, finalement, n’est peut-être pas si lointain.
Au cœur de cette dystopie glaçante, Gilles Lellouche incarne, un flic désabusé de la zone 3, marqué par la violence et la corruption quotidienne. Son personnage, à la fois cynique et profondément humain, symbolise la résistance contre un système oppressif qui a broyé ses idéaux. Face à lui, Adèle Exarchopoulos, Salia Malberg est une inspectrice d’élite de la zone 2, brillante, déterminée, froide du régime policé par ALMA.
Leur collaboration forcée va remettre en question leurs certitudes et révéler une humanité cachée sous les apparences. Le film ne s’arrête pas à ce duo explosif. Louis Garrel interprète, Jon Mafram, leader énigmatique du groupe anarchiste, Breakwalls. Personnage mystérieux et ambigu apporte une touche de complexité morale et une tension permanente à l’intrigue.
Romain Duris joue le rôle de Théo Rimarval, ministre de l’Intérieur. Avec son charisme et son imprévisibilité, Duris renforce la dimension politique et dramatique du film, offrant une interprétation qui oscille entre autorité et ambiguïté.
Valeria Bruni Tedeschi prête ses traits à Irina Mitrovna, un médecin dont le rôle reste crucial. Son personnage ajoute une profondeur supplémentaire à l’univers dystopique de Chien 51. Enfin, Artus complète ce casting exceptionnel en jouant Malik Bouzid, commissaire de la zone 3, apporte une touche d’humour noir et de réalisme à ce monde divisé. Ce casting cinq étoiles donne vie à un Paris futuriste où chaque personnage représente une facette des tensions sociales et technologiques qui déchirent la société.
Les performances des acteurs renforcent l’immersion dans ce monde dystopique. Le film excelle dans sa capacité à mêler suspense et questionnements éthiques. Les scènes de tension, comme celle où l’IA prend progressivement le contrôle des infrastructures critiques, sont filmées avec une précision chirurgicale. Le réalisateur Cédric Jimenez signe une œuvre dystopique aussi fascinante qu’inquiétante. Il y dépeint un Paris fragmenté en zones cloisonnées où chaque déplacement est contrôlé par une reconnaissance faciale et oculaire.
Dans ce monde orwellien, la liberté de mouvement n’est plus un droit, mais un privilège accordé ou refusé par un système impitoyable. Ce qui frappe dans cet univers, c’est la manière dont la technologie a infiltré chaque aspect de la vie quotidienne. La police, par exemple, ne résout plus les crimes grâce à des enquêtes traditionnelles, mais en s’appuyant sur une intelligence artificielle omniprésente, capable d’analyser, de prédire et de juger en un clin d’œil. Une vision glaçante où l’humain n’est plus qu’un rouage dans une machine qu’il a lui-même créée.
Et puis, il y a ce détail terrifiant : un jeu télévisé où des enfants de la zone 3, la plus défavorisée, s’affrontent pour remporter une place dans un prestigieux pensionnat de la zone 2. Un symbole cruel des inégalités sociales, où l’espoir d’une vie meilleure se joue à travers des épreuves médiatisées, sous le regard indifférent des élites.
Chien 51 n’est pas seulement un film de science-fiction : c’est un miroir tendu vers notre société, où la technologie, si elle n’est pas maîtrisée, pourrait bien devenir notre pire geôlière. Un futur qui, finalement, n’est peut-être pas si lointain.
Bande annonce du film, chien 51
Paris, 2045. Une ville sous contrôle. La Cité Lumière s’est éteinte. À sa place, une capitale morcelée, divisée en trois zones hermétiques, reflète une réalité sociale brutale. D’un côté, l’île de la Cité, sanctuaire de verre et d’acier où une élite protégée vit sous la lumière artificielle des néons bleutés. De l’autre, les banlieues abandonnées, où s’entassent ceux que le système a relégués dans l’ombre.
Entre les deux, une frontière invisible mais infranchissable: des barrières high-tech, des drones aux yeux rouges, et l’omniprésence ALMA, l’intelligence artificielle qui a remplacé l’État. ALMA n’est pas une simple machine. C’est une entité omnisciente, une divinité algorithmique qui dicte les lois, prédit les crimes et traque les dissidents avant même qu’ils n’agissent.
Ses drones patrouillent en silence, ses hologrammes envahissent l’espace public, et ses jugements tombent sans appel. Dans ce monde, la confiance est un luxe, et la liberté, une illusion. C’est dans ce décor glaçant que Zem (Gilles Lellouche), un flic désillusionné de la zone 3, Salia (Adèle Exarchopoulos) et une ambitieuse de la zone 2, se retrouvent contraints de collaborer. Leur enquête, déclenchée par un meurtre, va les entraîner bien au-delà des limites de leur mission.
Chaque indice qu’ils découvrent défie les règles d’ALMA, chaque révélation ébranle les fondements de cette société sous surveillance. Car dans ce Paris d'une autre galaxie, rien n’échappe au regard de la machine : pas même les pensées les plus secrètes. Chien 51 vous plonge dans une atmosphère à la fois hypnotique et oppressante. Les plans s’enchaînent, mêlant des paysages urbains saturés de néons et des visages tendus, marqués par la peur et l’urgence.
Les séquences de chaos technologique hologrammes qui s’emballent, systèmes qui s’effondrent créent une tension électrique, comme si la ville elle-même était au bord de l’implosion. Et puis, il y a la musique : un mélange d’électronique glaciale et d’orchestrations sombres, qui amplifie ce sentiment de danger imminent. Chaque note résonne comme un avertissement, chaque silence comme une menace. Car ALMA veille.
Entre les deux, une frontière invisible mais infranchissable: des barrières high-tech, des drones aux yeux rouges, et l’omniprésence ALMA, l’intelligence artificielle qui a remplacé l’État. ALMA n’est pas une simple machine. C’est une entité omnisciente, une divinité algorithmique qui dicte les lois, prédit les crimes et traque les dissidents avant même qu’ils n’agissent.
Ses drones patrouillent en silence, ses hologrammes envahissent l’espace public, et ses jugements tombent sans appel. Dans ce monde, la confiance est un luxe, et la liberté, une illusion. C’est dans ce décor glaçant que Zem (Gilles Lellouche), un flic désillusionné de la zone 3, Salia (Adèle Exarchopoulos) et une ambitieuse de la zone 2, se retrouvent contraints de collaborer. Leur enquête, déclenchée par un meurtre, va les entraîner bien au-delà des limites de leur mission.
Chaque indice qu’ils découvrent défie les règles d’ALMA, chaque révélation ébranle les fondements de cette société sous surveillance. Car dans ce Paris d'une autre galaxie, rien n’échappe au regard de la machine : pas même les pensées les plus secrètes. Chien 51 vous plonge dans une atmosphère à la fois hypnotique et oppressante. Les plans s’enchaînent, mêlant des paysages urbains saturés de néons et des visages tendus, marqués par la peur et l’urgence.
Les séquences de chaos technologique hologrammes qui s’emballent, systèmes qui s’effondrent créent une tension électrique, comme si la ville elle-même était au bord de l’implosion. Et puis, il y a la musique : un mélange d’électronique glaciale et d’orchestrations sombres, qui amplifie ce sentiment de danger imminent. Chaque note résonne comme un avertissement, chaque silence comme une menace. Car ALMA veille.
Les avis sur le film Chien 51
Film Chien 51 - Gilles Lellouche, Adèle Exarchopoulos ©Chi-Fou-Mi Productions
Jackpopopote, Publiée le 24 octobre 2025
Cinemadourg, Publiée le 18 octobre 2025
Enfin un film français réussi dans le genre Il faut souligner d’abord la réussite tant sur le décor, les costumes d’un monde futuriste, les détails sont poussés au maximum. Cela donne une très bonne impression de réalité. Le scénario est prenant au détail que l’intrigue est assez facile à deviner et manque peut être d’originalité. Le duo Exarchopoulos Lellouche fonctionne mais leur petite romance n’est pas assez ...
Cinemadourg, Publiée le 18 octobre 2025
Paris, année 2045. 3 zones parquent la population en 3 couches sociales distinctes. Zone 1, l'élite. Zone 2, les classes plutôt aisées. Zone 3, le quart monde. Une IA nommée ALMA gère désormais la sécurité de la ville, la criminalité a baissé de façon spectaculaire. Suite à un meurtre en Zone 1, une enquêtrice de la Zone 2 et un flic de la Zone 3 vont devoir faire équipe pour cette enquête... Visuellement, ce thriller dystopique ...
Synopsis
Film Chien 51- Affiche Officielle ©Chi-Fou-Mi Productions
Oubliez la Ville Lumière. Ici, Paris s’est transformée en un labyrinthe de zones cloisonnées, où chaque quartier est un monde à part. De l’île de la Cité, refuge des privilégiés, aux banlieues oubliées des laissés-pour-compte, une frontière invisible mais implacable sépare les destins. Personne n’échappe à son sort… et surtout pas à ALMA. ALMA, l’intelligence artificielle toute-puissante, règne en maître absolu.
Superpuissance froide et calculatrice, elle a remplacé la justice par des algorithmes, la liberté par la surveillance. Grâce à une armée de drones et une police sous son emprise, elle traque, juge et élimine toute menace avant même qu’elle n’émerge. Dans ce monde, la loi n’est plus écrite par les hommes elle est dictée par des lignes de code. Mais quand Zem (Gilles Lellouche), un flic blasé de la zone 3, se retrouve contraint de faire équipe avec Salia (Adèle Exarchopoulos), une agente d’élite de la zone 2.
Une enquête va tout bouleverser : Un meurtre, un complot, et surtout ALMA. Dans ce Paris divisé, une question s’impose :et si l’IA n’était pas infaillible ? Et si, derrière son masque de perfection, se cachait une faille capable de tout faire s’effondrer ?
Préparez-vous à plonger dans une dystopie glaçante, où la frontière entre le bien et le mal n’a jamais été aussi floue… et où l’humanité devra se battre pour reprendre ce qu’elle a perdu : son libre arbitre.
Superpuissance froide et calculatrice, elle a remplacé la justice par des algorithmes, la liberté par la surveillance. Grâce à une armée de drones et une police sous son emprise, elle traque, juge et élimine toute menace avant même qu’elle n’émerge. Dans ce monde, la loi n’est plus écrite par les hommes elle est dictée par des lignes de code. Mais quand Zem (Gilles Lellouche), un flic blasé de la zone 3, se retrouve contraint de faire équipe avec Salia (Adèle Exarchopoulos), une agente d’élite de la zone 2.
Une enquête va tout bouleverser : Un meurtre, un complot, et surtout ALMA. Dans ce Paris divisé, une question s’impose :et si l’IA n’était pas infaillible ? Et si, derrière son masque de perfection, se cachait une faille capable de tout faire s’effondrer ?
Préparez-vous à plonger dans une dystopie glaçante, où la frontière entre le bien et le mal n’a jamais été aussi floue… et où l’humanité devra se battre pour reprendre ce qu’elle a perdu : son libre arbitre.
Film Chien 51- Gilles Lellouche, Romain Duris ©Chi-Fou-Mi Productions
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