« La jeune Suzu quitte Hiroshima en 1944, à l’occasion de son mariage, pour vivre dans la famille de son mari à Kure, un port militaire. La guerre rend le quotidien de plus en plus difficile, malgré cela la jeune femme cultive la joie et l’art de vivre. Mais en 1945, un bombardement va éprouver son courage. »
La qualité du silence pendant la projection et celle des applaudissements à la fin de la séance en disent long sur les qualités esthétiques, historiques, poétiques de cette réalisation appelée à un succès international.
Pendant la conférence de presse, Move-On Mag a pu poser une question à Sunao Katabuchi :
Vous avez évoqué la capacité du film d’animation à reconstituer l’Histoire, à apporter la dimension d’un documentaire. Ce qui m’a touché, au-delà de cette reconstitution très fidèle, c’est la poésie évidente qui habite votre film et aussi une forme de tendresse que vous portez aux personnages.
Même en temps de guerre, les personnes qui ont vécu cette époque, sont des gens comme nous. Leur quotidien pouvait leur apporter des instants de bonheur. Si l’on prend soin de montrer cet aspect, on arrive, je pense, à ce que vous avez ressenti.
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