A la sortie les visages des spectateurs expriment le vif plaisir d’avoir assisté à la projection d’une œuvre particulière, aboutie, sans faiblesse, porteuse d’espoir mais empreinte d’une dimension qui touche au plus profond de la vie, l’amour. De soi, des autres, les sentiments, la sexualité, l’identité qui se construit avec ou contre le regard des autres, le désir et l’espoir qui l’emportent sur le sordide, l’abandon et le renfermement, la fragilité de l’enfance…
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Un grand moment d’émotion qui nous fait plonger au plus profond de nous - même, là où résident les racines de tout ce qui nous fait humains.
Entendu à la sortie de la salle « C’est mignon, mais quelle vie de merde ! » ou bien « La technique et la modélisation sont parfaites ! »
On peut se demander ce qu’apporte l’animation à la narration. Certainement une forme de raccourci, d’évidence qui, paradoxalement, ne nuisent pas à la réflexion, mais la portent et l’enrichissent et la poétisent avec humour. De la tendresse sans chichis.
Et puis, une gamine de dix ans qui lit du Kafka, et un générique de fin sur une interprétation de Noir Désir Le vent nous portera, quoi de plus parlant à la tête, au cœur et aux tripes ?
Entendu à la sortie de la salle « C’est mignon, mais quelle vie de merde ! » ou bien « La technique et la modélisation sont parfaites ! »
On peut se demander ce qu’apporte l’animation à la narration. Certainement une forme de raccourci, d’évidence qui, paradoxalement, ne nuisent pas à la réflexion, mais la portent et l’enrichissent et la poétisent avec humour. De la tendresse sans chichis.
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