Mickaël Marin, CITIA a su rebondir face à cette situation qui change complètement les conditions du Festival.
CITIA a toujours su rebondir, sur les écrans, dans l’imagination du public. Nous ne sommes pas les spécialistes de l’animation pour rien.
Il n’a sans doute pas été facile de concevoir et d’organiser concrètement un événement virtuel.
Pas du tout, le cinéma est toujours un entrelacement de concret et de virtuel, nous y sommes à l’aise comme un poisson dans l’eau du lac d’Annecy.
Vous devez bien avoir quelques craintes cependant ?
Nous avons peur qu’une édition totalement virtuelle trop réussie compromette l’avenir du Festival tel que nous le connaissons depuis ses débuts. C’est vrai, si tout se passe à la perfection et que nous économisons des tonnes de kérosène, nous nous dirigerons inévitablement vers des éditions entièrement virtuelles et il est possible de se demander ce que deviendront le lapin et le lancer d’avions. Cette douce régression qui fait s’exclamer toute une salle « Le lapin ! » et ce divertissement d’avant divertissement qui permet de planer en toute innocence via un lancer d’avions. Virtuels.
Et puis, reverrons-nous un jour Marcel Jean que la phobie du voyage en avion paralyse chaque année au point qu’il mélange anglais et français de manière incontrôlée dans ses présentations de films ? Il risque de monter un Festival concurrent au Canada.
Voilà pourquoi il y aura quelques couacs volontaires pendant cette édition virtuelle du Festival.
Nous avons même réussi à décaler le mauvais temps de quelques jours. Vous aurez remarqué qu’il pleut cette année juste avant le Festival.
CITIA a toujours su rebondir, sur les écrans, dans l’imagination du public. Nous ne sommes pas les spécialistes de l’animation pour rien.
Il n’a sans doute pas été facile de concevoir et d’organiser concrètement un événement virtuel.
Pas du tout, le cinéma est toujours un entrelacement de concret et de virtuel, nous y sommes à l’aise comme un poisson dans l’eau du lac d’Annecy.
Vous devez bien avoir quelques craintes cependant ?
Nous avons peur qu’une édition totalement virtuelle trop réussie compromette l’avenir du Festival tel que nous le connaissons depuis ses débuts. C’est vrai, si tout se passe à la perfection et que nous économisons des tonnes de kérosène, nous nous dirigerons inévitablement vers des éditions entièrement virtuelles et il est possible de se demander ce que deviendront le lapin et le lancer d’avions. Cette douce régression qui fait s’exclamer toute une salle « Le lapin ! » et ce divertissement d’avant divertissement qui permet de planer en toute innocence via un lancer d’avions. Virtuels.
Et puis, reverrons-nous un jour Marcel Jean que la phobie du voyage en avion paralyse chaque année au point qu’il mélange anglais et français de manière incontrôlée dans ses présentations de films ? Il risque de monter un Festival concurrent au Canada.
Voilà pourquoi il y aura quelques couacs volontaires pendant cette édition virtuelle du Festival.
Nous avons même réussi à décaler le mauvais temps de quelques jours. Vous aurez remarqué qu’il pleut cette année juste avant le Festival.
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