Nous avions rencontré Fabien Vehlmann venu présenter le tome 1 chez BD Fugue Annecy, d’où le plaisir de poursuivre la lecture.
Il est souvent agaçant que la critique d’un livre en fasse le résumé. Ça tombe bien, impossible de proposer un résumé de ce tome 2 ! Le dernier Atlas reste insaisissable, emporté par des tourbillons incessants d’imagination, par des rebondissements qui se chevauchent, ne laissant aucun répit au lecteur. Le genre de livre à relire calmement, une fois débarrassé de la curiosité de découvrir l’intrigue, afin d’apprécier toutes les références qui mêlent fiction et Histoire au point qu’on voit passer un Rocard Président et que le moment culminant de cette science fiction parfois rétroactive prend des airs de western algérien.
Il est souvent agaçant que la critique d’un livre en fasse le résumé. Ça tombe bien, impossible de proposer un résumé de ce tome 2 ! Le dernier Atlas reste insaisissable, emporté par des tourbillons incessants d’imagination, par des rebondissements qui se chevauchent, ne laissant aucun répit au lecteur. Le genre de livre à relire calmement, une fois débarrassé de la curiosité de découvrir l’intrigue, afin d’apprécier toutes les références qui mêlent fiction et Histoire au point qu’on voit passer un Rocard Président et que le moment culminant de cette science fiction parfois rétroactive prend des airs de western algérien.
Drôle d’équipage à la tête de ce Dernier Atlas, composé de quatre auteurs (Fabien Vehlmann, Gwen de Bonneval, Hervé Tanquerelle, Fred Blanchard) qui, tous ouvrages confondus, ont publié chez 17 éditeurs en collaboration avec plus de 20 auteurs différents.
Un sacré maelstrom à l’image de cet album !
Un sacré maelstrom à l’image de cet album !