Jean-Pierre Gibrat, d’où vous vient le plaisir que vous avez à raconter des histoires et qui se sent à leur lecture ?
De deux choses. Lorsque j’ai fait Le sursis, il y a vingt ans, c’était un peu par défaut. J’avais travaillé avec des scénaristes parmi lesquels Berroyer avec qui c’était parfait. Mais arrivé à quarante ans, je voulais me battre à fond sur le dessin et les histoires qu’on me proposait alors ne me convenaient que moyennement. J’avais besoin d’être davantage convaincu par les scénars, je me suis donc mis à en écrire.
Vous avez bien fait parce que votre qualité d’écriture est remarquable.
Vous êtes gentil de me faire ce compliment parce qu’au lycée j’étais humilié par mes résultats en français et en philo. Je pensais donc que je n’étais pas fait pour écrire et lorsque j’ai rencontré Berroyer qui était très dégourdi pour les dialogues, je me suis laissé porter. Mais à partir du moment où j’ai eu envie de raconter mes histoires, le ton est venu avec.
Vous utilisez des métaphores, des figures de style, vous en jouez mais ce n’est pas uniquement un jeu, plutôt une véritable tournure d’esprit qui donne de la fluidité.
La qualité du dessin se retrouve toujours, même quand on arrête quelques mois, d’autant plus que je pratique ce métier depuis quarante ans. J’ai par contre l’impression que l’écriture risque de m’échapper, d’avoir encore des choses à raconter mais de ne plus savoir les raconter. Ce à quoi un ami me répond que ce n’est pas possible parce que je suis comme ça dans la vie.
C’est votre tournure d’esprit et votre regard sur le monde.
Exactement, je n’y ai donc aucun mérite.
Est-ce qu’on peut parler de vos influences ?
Bien sûr ! En dessin, j’en ai dix mille.
Pour l’écriture, vous connaissez Franck et Vautrin et leur personnage Boro qu’ils promènent dans l’Histoire de l’Europe ?
Non, je ne connais pas. Mais pour revenir à mes influences en dessin, à vingt ans je faisais du sous Mulatier. Je dessinais « à la surface des choses » et je me suis rendu compte que j’allais vers une impasse douloureuse. J’ai alors commencé à chercher ma voie tranquillement. Vous connaissez cette phrase ? « Quand on est influencé par une personne, c’est du plagiat, quand on est influencé par plusieurs, c’est un style ». Le style ne se trouve pas, ne vous vient pas, il se crée quand vous enviez des qualités à d’autres personnes. Vous allez inconsciemment faire les poches à tout le monde pour créer quelque chose qui a une identité particulière, à votre sauce.
De deux choses. Lorsque j’ai fait Le sursis, il y a vingt ans, c’était un peu par défaut. J’avais travaillé avec des scénaristes parmi lesquels Berroyer avec qui c’était parfait. Mais arrivé à quarante ans, je voulais me battre à fond sur le dessin et les histoires qu’on me proposait alors ne me convenaient que moyennement. J’avais besoin d’être davantage convaincu par les scénars, je me suis donc mis à en écrire.
Vous avez bien fait parce que votre qualité d’écriture est remarquable.
Vous êtes gentil de me faire ce compliment parce qu’au lycée j’étais humilié par mes résultats en français et en philo. Je pensais donc que je n’étais pas fait pour écrire et lorsque j’ai rencontré Berroyer qui était très dégourdi pour les dialogues, je me suis laissé porter. Mais à partir du moment où j’ai eu envie de raconter mes histoires, le ton est venu avec.
Vous utilisez des métaphores, des figures de style, vous en jouez mais ce n’est pas uniquement un jeu, plutôt une véritable tournure d’esprit qui donne de la fluidité.
La qualité du dessin se retrouve toujours, même quand on arrête quelques mois, d’autant plus que je pratique ce métier depuis quarante ans. J’ai par contre l’impression que l’écriture risque de m’échapper, d’avoir encore des choses à raconter mais de ne plus savoir les raconter. Ce à quoi un ami me répond que ce n’est pas possible parce que je suis comme ça dans la vie.
C’est votre tournure d’esprit et votre regard sur le monde.
Exactement, je n’y ai donc aucun mérite.
Est-ce qu’on peut parler de vos influences ?
Bien sûr ! En dessin, j’en ai dix mille.
Pour l’écriture, vous connaissez Franck et Vautrin et leur personnage Boro qu’ils promènent dans l’Histoire de l’Europe ?
Non, je ne connais pas. Mais pour revenir à mes influences en dessin, à vingt ans je faisais du sous Mulatier. Je dessinais « à la surface des choses » et je me suis rendu compte que j’allais vers une impasse douloureuse. J’ai alors commencé à chercher ma voie tranquillement. Vous connaissez cette phrase ? « Quand on est influencé par une personne, c’est du plagiat, quand on est influencé par plusieurs, c’est un style ». Le style ne se trouve pas, ne vous vient pas, il se crée quand vous enviez des qualités à d’autres personnes. Vous allez inconsciemment faire les poches à tout le monde pour créer quelque chose qui a une identité particulière, à votre sauce.
Justement, c’est aussi ce qu’on retrouve dans l’utilisation de figures de style, dans la relation à l’image, dans la fluidité qui donnent un résultat très personnel.
C’est le meilleur compliment qu’on puisse m’adresser. Quand Max Cabanes lisait Le sursis sous forme de cahiers, avant son édition, j’étais très inquiet parce que c’était ma première histoire comme scénariste. Je le voyais tourner les pages sans rien dire et comme je n’en pouvais plus, au bout d’un moment je lui demande « Mais, ça te plaît ? » et il me répond « C’est super, on te reconnaît. » Ce qui veut dire que c’est sincère.
C’est intéressant parce que moi, comme lecteur, je me reconnais aussi dans ce que vous produisez. Dans ce dessin, par exemple, je vois quelque chose de proustien , une évocation du temps et une forme de transparence avec la représentation des pieds de la jeune femme dans la limpidité de l’eau. Le temps des vies, de l’Histoire semble être l’un de vos thèmes favoris.
On me dit souvent que Matteo est un récit historique ; non, c’est un récit qui prend l’Histoire par le petit bout de la lorgnette, à travers l’histoire des gens simples. C’est ce qui me touche le plus, l’affrontement entre le communisme et le fascisme dans les années 30, par exemple. On dit ensuite que le communisme a provoqué plus de morts. C’est une vérité historique, dite de cette manière. C’est d’autant plus regrettable que les gens qui ont adhéré à l’un et à l’autre n’étaient pas les mêmes. D’un côté l’humanité, qui donne le côté terrifiant du résultat alors que le communisme partait de bonnes intentions ; l’espoir fasciste, de l’autre côté, n’était pas bâti sur l’humanisme mais sur une vision de l’homme dominateur.
Il y a d’autres frontières plus poreuses, plus subtiles entre les anarchistes et les bolchéviques.
Oui, les anarchistes ont très vite vu la confiscation du pouvoir par les bolchéviques. J’ai grandi dans le milieu communiste et je m’en suis éloigné quand j’ai eu 21/22 ans. J’avais l’impression de trahir tous les miens, les cocus de l’Histoire qui ont toujours cru jusque dans les années 70 que l’Union Soviétique, si elle n’était pas le paradis, était en construction quand même, meilleure que le système capitaliste. J’ai beaucoup d’affection pour ces gens qui, comme mon grand père, ont été naïfs, crédules…
Ils cherchaient peut-être davantage une fraternité.
Les gens de la base, oui, pas les autres. Je connais bien cette mentalité .Dans Le vol du corbeau, Jeanne est une communiste de base et son copain François, un petit voyou qui vit de larcins lui dit « Moi aussi je suis communiste, je prends aux riches pour donner aux pauvres ; j’ai simplement supprimé les intermédiaires. » Jeanne lui répond qu’il faut d’abord penser aux autres pour être communiste et François lui rétorque que les communistes ne pensent pas aux autres mais à la place des autres. Ça résume tout.
Je reviens à l’idée de frontières. Chez vous il y a les frontières politiques, géographiques, nationales, sociales…et Matteo navigue au milieu de tout ça.
Plus on vieillit, plus on s’intéresse à la nuance. Si on s’intéresse à la guerre de 40, on constate que même du côté fasciste, il y avait chez certains une forme de sincérité, et même à travers une vision élitiste un respect de l’humain comme par exemple chez le colonel de La Rocque. Le secrétaire de Jean Moulin, Daniel Cordier venait d’abord de l’extrême droite avant de devenir très humaniste.
C’est le meilleur compliment qu’on puisse m’adresser. Quand Max Cabanes lisait Le sursis sous forme de cahiers, avant son édition, j’étais très inquiet parce que c’était ma première histoire comme scénariste. Je le voyais tourner les pages sans rien dire et comme je n’en pouvais plus, au bout d’un moment je lui demande « Mais, ça te plaît ? » et il me répond « C’est super, on te reconnaît. » Ce qui veut dire que c’est sincère.
C’est intéressant parce que moi, comme lecteur, je me reconnais aussi dans ce que vous produisez. Dans ce dessin, par exemple, je vois quelque chose de proustien , une évocation du temps et une forme de transparence avec la représentation des pieds de la jeune femme dans la limpidité de l’eau. Le temps des vies, de l’Histoire semble être l’un de vos thèmes favoris.
On me dit souvent que Matteo est un récit historique ; non, c’est un récit qui prend l’Histoire par le petit bout de la lorgnette, à travers l’histoire des gens simples. C’est ce qui me touche le plus, l’affrontement entre le communisme et le fascisme dans les années 30, par exemple. On dit ensuite que le communisme a provoqué plus de morts. C’est une vérité historique, dite de cette manière. C’est d’autant plus regrettable que les gens qui ont adhéré à l’un et à l’autre n’étaient pas les mêmes. D’un côté l’humanité, qui donne le côté terrifiant du résultat alors que le communisme partait de bonnes intentions ; l’espoir fasciste, de l’autre côté, n’était pas bâti sur l’humanisme mais sur une vision de l’homme dominateur.
Il y a d’autres frontières plus poreuses, plus subtiles entre les anarchistes et les bolchéviques.
Oui, les anarchistes ont très vite vu la confiscation du pouvoir par les bolchéviques. J’ai grandi dans le milieu communiste et je m’en suis éloigné quand j’ai eu 21/22 ans. J’avais l’impression de trahir tous les miens, les cocus de l’Histoire qui ont toujours cru jusque dans les années 70 que l’Union Soviétique, si elle n’était pas le paradis, était en construction quand même, meilleure que le système capitaliste. J’ai beaucoup d’affection pour ces gens qui, comme mon grand père, ont été naïfs, crédules…
Ils cherchaient peut-être davantage une fraternité.
Les gens de la base, oui, pas les autres. Je connais bien cette mentalité .Dans Le vol du corbeau, Jeanne est une communiste de base et son copain François, un petit voyou qui vit de larcins lui dit « Moi aussi je suis communiste, je prends aux riches pour donner aux pauvres ; j’ai simplement supprimé les intermédiaires. » Jeanne lui répond qu’il faut d’abord penser aux autres pour être communiste et François lui rétorque que les communistes ne pensent pas aux autres mais à la place des autres. Ça résume tout.
Je reviens à l’idée de frontières. Chez vous il y a les frontières politiques, géographiques, nationales, sociales…et Matteo navigue au milieu de tout ça.
Plus on vieillit, plus on s’intéresse à la nuance. Si on s’intéresse à la guerre de 40, on constate que même du côté fasciste, il y avait chez certains une forme de sincérité, et même à travers une vision élitiste un respect de l’humain comme par exemple chez le colonel de La Rocque. Le secrétaire de Jean Moulin, Daniel Cordier venait d’abord de l’extrême droite avant de devenir très humaniste.
Matteo est le révélateur des autres et il se révèle lui-même au fil du récit. Lui qui fuit toujours le pouvoir se retrouve à galvaniser les soldats républicains.
Les Républicains ont perdu la guerre à cause du bordel que c’était de leur côté, surtout dans les années 36/37. Même si Matteo déteste la guerre, il le comprend.
Ça prouve que parfois, comme vous qui êtes devenu aussi scénariste, on se trouve embarqué dans des voies qu’on ne décide pas vraiment, par la force des choses.
Effectivement. A ce propos, mon libraire à Soulac m’a recommandé un polar de Franz Delplanque, Du son sur les murs . J’aurais pu en faire une adaptation tellement le ton est magnifique et le personnage attachant si je l’avais découvert plus tôt… Le ton est important mais il faut présenter aux lecteurs un canevas assez dégourdi qui a en lui-même un intérêt. Partir de la Grande Histoire permet de révéler l’humain. Dans ces moments exceptionnels, l’humain prend une amplitude incroyable, extraordinaire ou minable chez le même personnage.
Effectivement, Matteo lui-même est parfois très ambivalent.
Il n’est pas un héros.
Ce qui permet au lecteur de se projeter dans le personnage.
Exactement. Le Sursis était aussi parti de là, de cette question qui touche tous les gens de ma génération « Qu’est-ce que j’aurais fait en 40 ? »Si on est honnête on doit dire qu’on n’en sait rien. On peut simplement espérer.
Pour revenir à l’écriture, elle est de telle qualité que vous auriez pu devenir romancier. D’où vient le dessin ?
C’est ma passion première. Je pourrais être heureux même sans raconter d’histoires mais il me faudrait une deuxième vie pour atteindre le niveau que je vise en dessin.
J’ai noté pas mal de métaphores, de figures qui associent la politique et la cuisine, en particulier une métaphore filée qui se termine ainsi «…un nouveau menu avec occupation des cuisines .Blum au fourneau, on remettait tout à plat. La France pique-niquait. »
« La France pique-niquait », j’en étais content de cette trouvaille ! C’est tellement la résultante de 36 !
D’autant plus que la mise en page met vraiment le texte en valeur.
Ma passion pour l’écrit, comme lecteur aussi, rejoint celle que j’ai pour le dessin. J’ai découvert à 30 ans la subtilité de la langue française, la subtilité de sens des synonymes. C’est une chanson de Brassens et l’emploi de l’adjectif « gourd » qui m’a ouvert à ces finesses de la langue.
Vous en êtes à la quatrième « époque » de Matteo. Pourquoi ce mot ?
On n’a pas trouvé mieux avec l’éditeur. On rejoint l’idée de temps. Il me reste trois bouquins à faire avec Matteo et ça me demande une telle énergie, deux ans pour chacun, que je crois que j’aurais dû élaguer et commencer avec l’Espagne en 36. Je ne regrette pas la révolution russe mais je me suis un peu perdu à être trop pédagogique. J’aurais pu être plus synthétique.
C’est pourtant l’un des moments où l’on voit que les frontières sont poreuses et c’est passionnant. On y voit que les femmes peuvent être plus courageuses et décidées que les hommes.
Oui, même si c’est un lieu commun. C’est ce que FrançoisMorel dit dans les Deschiens « Les femmes sont plus fortes que les hommes. » Il le dit au 2° degré mais tout le monde le reconnaît. Les femmes sont plus radicales.
Vous avez déjà d’autres projets après les albums de Matteo à venir ?
Finir Le vol du corbeau. Il n’est pas impossible d’y voir reparaître Matteo. J’y pense. Sa série va s’arrêter en 40, ce serait formidable de le retrouver en 46 ou en 47.Je ne vais pas me priver de ménager quelques surprises mais les choses doivent se faire naturellement.
Les Républicains ont perdu la guerre à cause du bordel que c’était de leur côté, surtout dans les années 36/37. Même si Matteo déteste la guerre, il le comprend.
Ça prouve que parfois, comme vous qui êtes devenu aussi scénariste, on se trouve embarqué dans des voies qu’on ne décide pas vraiment, par la force des choses.
Effectivement. A ce propos, mon libraire à Soulac m’a recommandé un polar de Franz Delplanque, Du son sur les murs . J’aurais pu en faire une adaptation tellement le ton est magnifique et le personnage attachant si je l’avais découvert plus tôt… Le ton est important mais il faut présenter aux lecteurs un canevas assez dégourdi qui a en lui-même un intérêt. Partir de la Grande Histoire permet de révéler l’humain. Dans ces moments exceptionnels, l’humain prend une amplitude incroyable, extraordinaire ou minable chez le même personnage.
Effectivement, Matteo lui-même est parfois très ambivalent.
Il n’est pas un héros.
Ce qui permet au lecteur de se projeter dans le personnage.
Exactement. Le Sursis était aussi parti de là, de cette question qui touche tous les gens de ma génération « Qu’est-ce que j’aurais fait en 40 ? »Si on est honnête on doit dire qu’on n’en sait rien. On peut simplement espérer.
Pour revenir à l’écriture, elle est de telle qualité que vous auriez pu devenir romancier. D’où vient le dessin ?
C’est ma passion première. Je pourrais être heureux même sans raconter d’histoires mais il me faudrait une deuxième vie pour atteindre le niveau que je vise en dessin.
J’ai noté pas mal de métaphores, de figures qui associent la politique et la cuisine, en particulier une métaphore filée qui se termine ainsi «…un nouveau menu avec occupation des cuisines .Blum au fourneau, on remettait tout à plat. La France pique-niquait. »
« La France pique-niquait », j’en étais content de cette trouvaille ! C’est tellement la résultante de 36 !
D’autant plus que la mise en page met vraiment le texte en valeur.
Ma passion pour l’écrit, comme lecteur aussi, rejoint celle que j’ai pour le dessin. J’ai découvert à 30 ans la subtilité de la langue française, la subtilité de sens des synonymes. C’est une chanson de Brassens et l’emploi de l’adjectif « gourd » qui m’a ouvert à ces finesses de la langue.
Vous en êtes à la quatrième « époque » de Matteo. Pourquoi ce mot ?
On n’a pas trouvé mieux avec l’éditeur. On rejoint l’idée de temps. Il me reste trois bouquins à faire avec Matteo et ça me demande une telle énergie, deux ans pour chacun, que je crois que j’aurais dû élaguer et commencer avec l’Espagne en 36. Je ne regrette pas la révolution russe mais je me suis un peu perdu à être trop pédagogique. J’aurais pu être plus synthétique.
C’est pourtant l’un des moments où l’on voit que les frontières sont poreuses et c’est passionnant. On y voit que les femmes peuvent être plus courageuses et décidées que les hommes.
Oui, même si c’est un lieu commun. C’est ce que FrançoisMorel dit dans les Deschiens « Les femmes sont plus fortes que les hommes. » Il le dit au 2° degré mais tout le monde le reconnaît. Les femmes sont plus radicales.
Vous avez déjà d’autres projets après les albums de Matteo à venir ?
Finir Le vol du corbeau. Il n’est pas impossible d’y voir reparaître Matteo. J’y pense. Sa série va s’arrêter en 40, ce serait formidable de le retrouver en 46 ou en 47.Je ne vais pas me priver de ménager quelques surprises mais les choses doivent se faire naturellement.
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