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Move-On Magazine

BNI un réseau d’affaires qui s’appuie sur les relations humaines


« Qui donne reçoit »


| Publié le 02/12/2018 |

BNI : Jeu de rôles pour former une chaîne inter-professionnelle
BNI : Jeu de rôles pour former une chaîne inter-professionnelle
Comme tout le monde, vous connaissez BB, femme libérée. Grâce à BNI découvrez BBB : Business, Bienveillance et Bonne humeur autour d’un petit déjeuner chaque vendredi de 7 à 9 heures.
   Autre particularité de BNI, les courbes y sont ascendantes !
Les réunions BNI progressent sur un rythme d’information, d’expression et d’échanges très dynamique qui exclut toute enflure de l’ego, tout baratin et vise à l’efficacité dans la bonne humeur. Des interventions courtes, précises, une conférence de quelques minutes présentée par l’un des membres du groupe, des présentations de 30 secondes, des demandes , des recommandations, des témoignages… afin de développer l’activité de chacun grâce aux interactions dans le groupe. En bientôt quatre ans, le chiffre d’affaires de BNI Annecy atteint 4 millions d’euros.
Move-On était invité à la réunion du vendredi 30 novembre 2018 par Marie-Line Cancel
 
   Laurence Fayau est ambassadrice BNI.

Laurence, en quoi consiste votre rôle ?
Dans notre région, qui regroupe l’Isère, la Savoie et la Haute-Savoie, BNI compte 18 groupes et 6 en création. Les ambassadeurs accompagnent les groupes e croissance et en création.

Ce qui signifie que vous avez de l’expérience.
Je suis à BNI depuis 4 ans, depuis la création du groupe d’Annecy. J’ai eu diverses missions, au sein des RH, j’ai été vice-présidente…ce qui m’a apporté une bonne maîtrise des méthodologies. Je participe régulièrement à des formations et il m’arrive de les co-animer.

BNI est un modèle venu des USA.
Oui, le premier groupe a été créé en 85. La méthode repose sur la recommandation venant de clients qui permet de développer son business.
   Il y a un peu plus de dix ans, Marc William Attié a implanté BNI en France malgré les réticences qu’il a rencontrées au départ. Aujourd’hui BNI compte 900 groupes en France, plus de 30 000 membres et génère plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires.

    Même si la méthodologie a été importée des USA, elle fonctionne en France. L’organisation des réunions est toujours la même, l’accueil toujours convivial ; on pourrait dire qu’ici, à Annecy, il y a une petite note d’humour en plus. Le « cocktail » tient à la qualité, à la personnalité des membres. C’est quelque chose qui se construit au fur et à mesure.

   Nous avions commencé à 20, nous sommes aujourd’hui 50, nous sommes plus nombreux et nous pouvons ainsi bénéficier de possibilités d’échanges accrues.

Vous couvrez actuellement sept secteurs d’activités et vous comptez élargir cet éventail.
Le groupe est réparti en sphères professionnelles, le bâtiment avant et après projet, les services aux entreprises, le bien-être, la communication…60% des contrats sont générés entre personnes ou entreprises de la même sphère, ce qui est normal puisqu’on se connaît mieux et qu’on est plus complémentaires dans ce contexte.

Nous avons assisté ce matin à un jeu de rôles reliant architecte, notaire, charpentier, agent immobilier, expert géomètre…
L’idée est de travailler de concert en partant des libres choix que constituent les recommandations. La force du groupe repose sur la bienveillance, sur la convivialité et aussi sur la responsabilité. Si je recommande quelqu’un, je m’expose, je m’implique. Tout repose sur la confiance que renforcent les tête-à-tête, les témoignages, les relations directes entre les membres.
 

Témoignage de Jean des Garets, géomètre expert :
BNI c’est « Travailler sérieusement sans se prendre au sérieux. »
Quand j’ai été invité au BNI pour la première fois, il y avait une ambiance de folie. Comme c’était la fin d’une mandature, les gars faisaient un show, ils étaient aux taquets. Quand on est à son compte on bosse, on est sous pression. Là on prend du bon temps, on repart avec une bonne pêche, on se détend mais on ne perd pas de temps puisqu’on échange sur nos pratiques professionnelles et que ça débouche sur des recommandations. Pour que les autres vous recommandent, il faut qu’ils vous connaissent, ce qui prend un peu de temps.

Parler de soi et de son travail dans ce contexte permet aussi de mieux se définir ?
Lors des tête-à-tête, oui, on soulève des problématiques, on sort de son milieu professionnel. Comme je suis dans l’immobilier, avant mon adhésion à BNI, je ne faisais que des événements liés à mon activité, alors que je suis allé récemment à l’inauguration des bureaux de Jonathan Dardet, qui fait des sites internet. C’est le genre de chose qui permet de connaître d’autres personnes, qui exercent d’autres métiers. Et d’associer le côté sympa et le boulot. Tout ça apporte aussi une ouverture personnelle par le mélange des tranches d’âge, par l’échange d’expérience, ce qui invite au respect et nous amène bien au-delà des convictions personnelles de chacun dans cette découverte et ce respect de l’autre.

www.bnifrance.fr

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