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A une époque où la raideur ne se situe pas toujours où il le faudrait, cette expression de la recherche, de l’échange, de la sexualité sous bien des formes constitue un hommage à la liberté et à la vie. Quelques tentures armoiriées, un canapé, un lustre, deux voiles et nous voici embarqués dans le voyage au long cours de la vie , qui consiste à essayer, se lancer, trouver un moment d’équilibre, voir si « Ça tient ».
Au gré de figures comme le cunnilingus retourné suivi d’un orgasme collectif ou la pirouette frénétique s’esquisse une démonstration qui dépasse les habituelles réflexions sur l’art. Non seulement l’art c’est la vie et c’est l’art à la fois, mais l’addition des deux fait plus que leur somme mathématique. Nom d’une pipe ! La danse n’est pas la représentation d’un acte d’amour : elle est acte d’amour. Lorsque, parmi les rares paroles prononcées,les danseurs déclarent « Nous venons de la chorégraphie, nous allons à la chorégraphie, mais surtout nous aimons la chorégraphie », ils sont à la fois personnes et personnages.
Mais des théories, Jean-Claude Gallotta semble se moquer et si l’on poursuit l’esprit de son spectacle jusqu’au bout , la dernière pirouette ne serait pas sur scène mais dans le titre « Vaffan… »
Au gré de figures comme le cunnilingus retourné suivi d’un orgasme collectif ou la pirouette frénétique s’esquisse une démonstration qui dépasse les habituelles réflexions sur l’art. Non seulement l’art c’est la vie et c’est l’art à la fois, mais l’addition des deux fait plus que leur somme mathématique. Nom d’une pipe ! La danse n’est pas la représentation d’un acte d’amour : elle est acte d’amour. Lorsque, parmi les rares paroles prononcées,les danseurs déclarent « Nous venons de la chorégraphie, nous allons à la chorégraphie, mais surtout nous aimons la chorégraphie », ils sont à la fois personnes et personnages.
Mais des théories, Jean-Claude Gallotta semble se moquer et si l’on poursuit l’esprit de son spectacle jusqu’au bout , la dernière pirouette ne serait pas sur scène mais dans le titre « Vaffan… »