Plus qu’un hommage, ce film de Bertrand Tavernier est une déclaration d’amour au cinéma. Pas un truc nunuche, midinette mais une déclaration solide, argumentée, longuement mûrie. Un tourbillon dans lequel les précisions techniques, les anecdotes ,l’approche de la musique font sens. Tout s’enchaîne parce qu’il y a « des jeux d’images comme il y a des jeux de mots. »
Tavernier fait de films un film d’histoire, une histoire, la sienne et la nôtre. Il déclare d’ailleurs, à propos de La 317° section de Pierre Schoendoerffer « Avec ce film, on n’est pas au spectacle, on change de peau. »
Tavernier change notre relation au cinéma au point que, quand Michel Creton et Romy Schneider émergent de Max et les ferrailleurs pour apparaître à l’écran, c’est le cinéma qui regarde le public, le cinéma devenu vivant .
Tavernier fait de films un film d’histoire, une histoire, la sienne et la nôtre. Il déclare d’ailleurs, à propos de La 317° section de Pierre Schoendoerffer « Avec ce film, on n’est pas au spectacle, on change de peau. »
Tavernier change notre relation au cinéma au point que, quand Michel Creton et Romy Schneider émergent de Max et les ferrailleurs pour apparaître à l’écran, c’est le cinéma qui regarde le public, le cinéma devenu vivant .
Articles similaires...
-
Hommage à William Friedkin, le maître derrière « L’Exorciste »
-
Oppenheimer, le film : le père de la bombe atomique vu par Nolan (et Move-ON Mag')
-
Barbie 2023 : un film satirique qui démystifie la célèbre poupée et dénonce le patriarcat
-
Oppenheimer, le nouveau film de Nolan souffle les spectateurs
-
Angie Maman 2.0 présentera son premier court-métrage d’animation au festival d’Annecy