
The Great Green Wall de Jared P. Scott avec Inna Modja
Sur 8000 kilomètres, du Sénégal à l’Ethiopie, naît et commence à se réaliser l’idée d’une Grande Muraille Verte. Cet immense mur n’est pas fait pour diviser mais pour réunir au contraire au sein de la vie et des terres restaurées.
Famines, enlèvements, déplacements de populations, exodes, migrations, extrémismes, violences et guerres, exécutions, exploitation humaine, analphabétisme… les problèmes que vit l’Afrique sont directement liés à la désertification du Sahel.
La Grande Muraille Verte a pour vocation de devenir une mosaïque de terres revivifiées, de cultures agricoles et artistiques, de peuples, d’efforts communs. Fixer la terre, fixer les gens sur des terres nourricières telle est l’ambition de ce projet parcouru du Sénégal à l’Ethiopie par la chanteuse malienne Inna Modja dont les rencontres au fil de ce périple témoignent de la souffrance des populations et se transforment en collaborations artistiques.
Ce film n’est pas qu’un documentaire, un témoignage, il apporte sa contribution au projet.
Dans cette affaire, le rôle des femmes est primordial. Ce sont les femmes qui souffrent le plus, souvent dans leur chair, des tourments dont l’Afrique est victime. Inna, victime elle-même de mutilation sexuelle, est l’allégorie vivante de cette terre mutilée.
Famines, enlèvements, déplacements de populations, exodes, migrations, extrémismes, violences et guerres, exécutions, exploitation humaine, analphabétisme… les problèmes que vit l’Afrique sont directement liés à la désertification du Sahel.
La Grande Muraille Verte a pour vocation de devenir une mosaïque de terres revivifiées, de cultures agricoles et artistiques, de peuples, d’efforts communs. Fixer la terre, fixer les gens sur des terres nourricières telle est l’ambition de ce projet parcouru du Sénégal à l’Ethiopie par la chanteuse malienne Inna Modja dont les rencontres au fil de ce périple témoignent de la souffrance des populations et se transforment en collaborations artistiques.
Ce film n’est pas qu’un documentaire, un témoignage, il apporte sa contribution au projet.
Dans cette affaire, le rôle des femmes est primordial. Ce sont les femmes qui souffrent le plus, souvent dans leur chair, des tourments dont l’Afrique est victime. Inna, victime elle-même de mutilation sexuelle, est l’allégorie vivante de cette terre mutilée.
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Loin d’afficher un optimisme béat devant la tache à accomplir, ce film est cependant un chant de fierté et d’espoir.
Rappelez-vous les rayons de supermarchés vides dès les premiers jours du confinement. Imaginez la famine !
Et contre elle, un Grand Mur Vert, solidaire, végétal, culturel, humain contre le défaitisme et l’égoïsme. La beauté de ce projet irradie dans celle des images, des regards et dans la musique.
« À nous d’inventer des solutions à nos problèmes. »
« C’est l’histoire de ceux qui s’emparent de leur avenir. »
« Transformer la terre et l’état d’esprit des gens. »
Rappelez-vous les rayons de supermarchés vides dès les premiers jours du confinement. Imaginez la famine !
Et contre elle, un Grand Mur Vert, solidaire, végétal, culturel, humain contre le défaitisme et l’égoïsme. La beauté de ce projet irradie dans celle des images, des regards et dans la musique.