Le Romain Vuillemin Hispanic Trio vous invite à un voyage où les boléros se parent des couleurs du swing manouche, où la douceur hispanique rencontre la liberté du jazz...

Un souffle chaud, une corde qui vibre, un silence suspendu avant la première note.
Puis la guitare s’avance, comme une voix familière qui raconte l’amour, la nuit, le souvenir.
Le Romain Vuillemin Hispanic Trio vous invite à un voyage où les boléros se parent des couleurs du swing manouche, où la douceur hispanique rencontre la liberté du jazz autour de thèmes comme Sabor a mi (boléro Mexicain), España Cañi (Paso Doble espagnol) ou encore Historia de un amor (chanson d’amour Panaméenne).

À la guitare et au chant, un musicien dont la mère est espagnole porte naturellement ces airs, entre mélancolie et lumière, d’un timbre de voix tantôt crooner et envoutant, tantôt fragile et sensible. Son jeu de guitare, puisant sa source chez Django Reinhardt et dans le swing des années 1930-1940, fait danser les boléros avec une grâce intemporelle.

Le pianiste Cesar Pastre, véritable caméléon du vieux swing, apporte à la musique sa palette de nuances et d’humeurs. Tantôt percussif et espiègle, tantôt délicat et rêveur, il joue avec le silence comme avec la lumière, peignant chaque morceau d’une émotion nouvelle.

Et dans le creux de ce dialogue vibrant, la contrebasse du jazzman canadien Thomas Posner déploie sa présence profonde et charnelle. Son jeu, à la fois souple et ferme, trace la route du trio — un fil tendu entre la terre et le ciel, où chaque note résonne comme un pas de danse.

De Séville à Buenos Aires, de Mexico à Veracruz, ces musiques racontent l’amour, la nostalgie et la fête.

Fermez les yeux : c’est tout le monde hispanique qui se déploie sous vos pas — entre passion, douceur et swing, le temps d’un soir au Bal Blomet.