Le 26 mai, Arthur H nous fait l'honneur d’accepter notre invitation
et partagera avec nous la quête spirituelle qu’il tisse depuis toujours.
Intime et inventif, il sera entouré d’instruments choisis
Le 26 mai, Arthur H nous fait l'honneur d’accepter notre invitation
et partagera avec nous la quête spirituelle qu’il tisse depuis toujours.
Intime et inventif, il sera entouré d’instruments choisis
"Depuis toujours j’improvise, dans l’intimité, de longues plages sonores. Musiques planantes, mélopées, auto-transe synthétique, organique, rhytmique, une plongée à l’intérieur du son. Dans cette atmosphère, l’improvisation totale est cruciale : la découverte en direct d’une nouvelle musique qui s’invente dans l’instant. Un son spontané qui résonne avec la pulsation intérieure, une méditation légère qui nous connecte à l’espace. Je jouerais l’orgue du Foyer de l’âme, du piano et des synthétiseurs, Juno 106, Prophet 6, Polybrute Arturia. Pas de chanson, pas d’histoire, juste s’abandonner au voyage sonore".
Arthur H
Passons rapidement sur le fait que cet Arthur est le fils du dénommé Jacques Higelin. On ne mettra pas en doute une certaine filiation, mais Arthur H contrairement à d'autres « fils de » s'est rapidement émancipé artistiquement du père. Il apparaît sur une scène dès l'âge de 22 ans. A ses côtés déjà celui qui reste aujourd'hui son compère musical, le contrebassiste Brad Scott. Prévu pour trois soirs Arthur H occupera la petite scène de la Vieille Grille durant un mois. Déjà circule le début d'une réputation sur cet artiste qui embarque le spectateur dans son univers cool jazz entre Vian et Gainsbourg. Il confirme au Sentier des Halles puis au Théâtre de la Ville. Il est temps pour lui de sortir son premier album éponyme qui installe définitivement son univers : « Quai N°3 », « Je rêve de toi », « Un fantôme s'est suicidé ». Au début de l année 91 il s'installe pendant cinq semaines au Pigall's. Un public jeune y fréquente ce chanteur à part. Prolongations. Un an après sort « Bachibouzouk ». Arthur H agrandit le cercle des musiciens qui l'entourent. Le Bachibouzouk Band l'accompagne désormais sur scène. Installé tous ensemble dans le chapiteau du Magic Mirrors à la Villette ils triomphent accueillant durant six semaines plus de 12 000 personnes. Le public est plongé dans un univers magique et poétique entre cabaret et cirque. Ceux qui ont vu ce spectacle l'ont encore en mémoire. Arthur et le Bachibouzouk Band vont planter le Magic Mirrors partout en France. Après de nombreux concerts il s'octroie une année sabbatique. C'est en 1996 qu'il réapparaît avec un nouvel album « Trouble-Fête ». Il l'enregistre avec son compère Brad Scott et Joseph Racaille pour les arrangements de cordes. La musique apparaît plus organique que jamais, les textes qui hier parlaient d'amours hypothétiques, célèbrent désormais l'amour présent. Un scène suit bien évidemment, au Théâtre du Gymnase à Paris puis une tournée en province. Arthur H séduit une nouvelle fois le public avec ses mots, sa manière de les chanter, de les mettre en scène, mais aussi grâce aux musiciens qui l'entourent (Brad Scott, Nicolas Repac, Laurent Robin et David Coulter) inventifs, talentueux, lui et eux n'hésitant pas à jouer d'instruments improbables comme le didjeridoo, la guimbarde, l'éventail, le théramin
https://www.facebook.com/arthurhofficial
http://www.arthurh.net