Avec ses fidèles et prestigieux acolytes Mario, Linley et Adriano, Simon Spang-Hanssen fait la part belle au groove.

En mars, cela fait un an que le grand Félix Sabal-Lecco nous a quitté et c’est à ce précieux musicien, tant par sa générosité que sa virtuosité, que seront dédiés ces concerts. Tellement irremplaçable, que c’est un percussionniste qui prendra son siège pour l’occasion…
Depuis les années 70, le saxophoniste danois Simon Spang-Hanssen a suivi un parcours d’une grande richesse, rythmé par des collaborations prestigieuses (Andy Emler, Billy Hart ou Frank Tortiller pour ne citer qu’eux). Avec ses fidèles et prestigieux acolytes Mario, Linley et Adriano, “Ear Witness” fait la part belle au groove. Outre ces mélanges chaleureux, on y trouve quelques balades dans lesquelles Spang-Hanssen fait honneur à sa réputation de grand mélodiste. Quant au morceau qui donne son nom à l’album, il est pétri d’un groove binaire bien épais et de riffs de saxophone tranchants qui débordent de funk.
"Bassiste et batteur s'entendent comme larrons en foire sur des grooves espiègles. Le leader fonce en décontraction parmi ses compositions toujours épicées. (Franck Bergerot - Jazz Magazine).

Simon Spang-Hanssen & Ear Witness : "Bassiste et batteur s'entendent comme larrons en foire sur des grooves espiègles. Le leader fonce en décontraction parmi ses compositions toujours épicées. (Franck Bergerot - Jazz Magazine).