Belle appellation pour ce festival de musique classique qui repose sur un oxymore, c’est-à-dire le rapprochement de termes contraires.
Le classicisme est ce repère stable autour duquel s’ordonne le monde comme l’univers autour du Roi Soleil, une sorte de jardin à la française. Les variations se trouvent à l’opposé.
Il est donc intéressant de relever que ces Variations Classiques vibrent au cœur du territoire de Savoie auquel les montagnes confèrent une stabilité évidente qui permet le mouvement sous toutes ses formes, celui de l’eau, de l’Histoire, de la culture, de l’art dont les ouvertures et les influences européennes ont donné le baroque, expression sublimée du mouvement.
Le classicisme est ce repère stable autour duquel s’ordonne le monde comme l’univers autour du Roi Soleil, une sorte de jardin à la française. Les variations se trouvent à l’opposé.
Il est donc intéressant de relever que ces Variations Classiques vibrent au cœur du territoire de Savoie auquel les montagnes confèrent une stabilité évidente qui permet le mouvement sous toutes ses formes, celui de l’eau, de l’Histoire, de la culture, de l’art dont les ouvertures et les influences européennes ont donné le baroque, expression sublimée du mouvement.
Des oppositions naissent la vie et la créativité.
Après Catherine Frot l’an dernier, ce sera à Gaspard Proust de faire vivre le Festival autour de son spectacle « Je n’aime pas le classique, mais avec Gaspard Proust j’aime bien. »
Ce digne successeur de Pierre Doris en matière d’humour et de cynisme, à l’opposé du divertissement acnéique, se révèle un mélomane passionné. Il a l’habitude d’écrire pour la scène ses partitions et de faire partager son rythme au public. On l’aurait cru versé en littérature, prédestiné par son prénom qui signifie « rat » en argot, habitué des bibliothèques quand Proust renvoie au temps perdu et retrouvé grâce à d’équivoques jeunes-filles en fleur.
Nous feuilletterons donc les pages et les notes de ce Festival de musique en compagnie de Gaspard Proust, attentifs à toutes les variations.
Après Catherine Frot l’an dernier, ce sera à Gaspard Proust de faire vivre le Festival autour de son spectacle « Je n’aime pas le classique, mais avec Gaspard Proust j’aime bien. »
Ce digne successeur de Pierre Doris en matière d’humour et de cynisme, à l’opposé du divertissement acnéique, se révèle un mélomane passionné. Il a l’habitude d’écrire pour la scène ses partitions et de faire partager son rythme au public. On l’aurait cru versé en littérature, prédestiné par son prénom qui signifie « rat » en argot, habitué des bibliothèques quand Proust renvoie au temps perdu et retrouvé grâce à d’équivoques jeunes-filles en fleur.
Nous feuilletterons donc les pages et les notes de ce Festival de musique en compagnie de Gaspard Proust, attentifs à toutes les variations.