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Roman : ouvrage écrit en langue vulgaire et non en latin au Moyen Age. Récit invraisemblable, mensonger.
Et pourtant, ce procédé qui consiste à faire passer des histoires grâce aux émotions et aux sentiments transmet à long terme plus et mieux que des approches frontales strictement scientifiques, historiques.
Il n’est que de voir le succès croissant du roman policier dont les composantes politiques, sociologiques, psychologiques sont de plus en plus prononcées.
Le roman est bien en prise avec la société et contrebalance les approches qui consistent à gérer celle-ci à partir de chiffres, de statistiques qui oublient « les vraies gens ».
Lauriane Arnaud, de l’équipe du Festival, nous présente l’événement.
C’est réellement un esprit de festival parce que l’événement se partage sur plusieurs lieux, musée, bibliothèques, théâtre, cinéma, château…maisons d’arrêt et se décline à travers des apéros, un bal, des rencontres, des projections, des plaidoiries…
Le Festival est né de la volonté de créer des liens entre les auteurs et le public et inclut désormais, celle de toucher un maximum de personnes parmi lesquelles des lecteurs très occasionnels. A travers cette diversité de lieux, nous souhaitons toucher des publics différents.
Il y a différents chemins qui mènent à la lecture, le bal littéraire que nous organisons en est un. Il s’agit de rendre la lecture vivante.
Le premier roman se caractérise souvent par sa touche autobiographique, la famille, l’enfance, susceptibles d’intéresser tous les publics.
Les jeunes lecteurs peuvent s’identifier plus facilement à l’auteur de ce type de textes.
Bien sûr, l’éventail des romans sélectionnés permet, parmi tous les publics visés, de toucher aussi les jeunes. Des interventions sont organisées dans des maisons d’arrêt parce que nous pensons vraiment à tous les publics, ce qui permet aux auteurs de rencontrer des lecteurs différents de ceux qu’ils voient habituellement et aux détenus d’avoir une image différente de la littérature.
Et pourtant, ce procédé qui consiste à faire passer des histoires grâce aux émotions et aux sentiments transmet à long terme plus et mieux que des approches frontales strictement scientifiques, historiques.
Il n’est que de voir le succès croissant du roman policier dont les composantes politiques, sociologiques, psychologiques sont de plus en plus prononcées.
Le roman est bien en prise avec la société et contrebalance les approches qui consistent à gérer celle-ci à partir de chiffres, de statistiques qui oublient « les vraies gens ».
Lauriane Arnaud, de l’équipe du Festival, nous présente l’événement.
C’est réellement un esprit de festival parce que l’événement se partage sur plusieurs lieux, musée, bibliothèques, théâtre, cinéma, château…maisons d’arrêt et se décline à travers des apéros, un bal, des rencontres, des projections, des plaidoiries…
Le Festival est né de la volonté de créer des liens entre les auteurs et le public et inclut désormais, celle de toucher un maximum de personnes parmi lesquelles des lecteurs très occasionnels. A travers cette diversité de lieux, nous souhaitons toucher des publics différents.
Il y a différents chemins qui mènent à la lecture, le bal littéraire que nous organisons en est un. Il s’agit de rendre la lecture vivante.
Le premier roman se caractérise souvent par sa touche autobiographique, la famille, l’enfance, susceptibles d’intéresser tous les publics.
Les jeunes lecteurs peuvent s’identifier plus facilement à l’auteur de ce type de textes.
Bien sûr, l’éventail des romans sélectionnés permet, parmi tous les publics visés, de toucher aussi les jeunes. Des interventions sont organisées dans des maisons d’arrêt parce que nous pensons vraiment à tous les publics, ce qui permet aux auteurs de rencontrer des lecteurs différents de ceux qu’ils voient habituellement et aux détenus d’avoir une image différente de la littérature.