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« Ce que vous devez savoir avant de lancer une campagne de crowdfunding
Un hall d’entrée large et lumineux, des fauteuils accueillants et confortables, des sourires lorsqu’on passe devant les portes ouvertes des bureaux… il a l’air faire plutôt bon travailler dans la pépinière Galiléo. Inventer, innover et développer des projets dans l’exigence et la bienveillance d’un esprit d’équipe, c’est aussi la ligne de conduite de Géraldine Gradel et Delphine Seyteur qui ont fondé naoxica en février 2015 et qui ont aussitôt élu domicile dans ce nid d’innovation. Crowdfunding ? Webmarketing ? Love money… ça vous dit quelque chose ? Venez, c’est chez naoxica que ça se passe !
Le nom de votre entreprise évoque bien des choses mais sans trop savoir quoi exactement. Qui et qu’est-ce qu’on trouve chez naoxica ?
Géraldine Gradel : Delphine et moi avons travaillé ensemble pendant 8 ans dans la presse et plus spécifiquement dans la diffusion de la presse : on relayait sur le terrain, donc auprès des marchands de journaux, les actions marketing des éditeurs de presse. L’entreprise dans laquelle nous travaillions a subi une restructuration, c’était le moment pour nous de nous lancer !
Au départ, je viens de la culture, et en 2010, j’ai fait une formation de marketing culturel à Neuchâtel (Suisse) pour faire le lien entre culture et marketing, afin d’axer notre démarche sur l’idée qu’il y a besoin de vendre le produit culturel. On voulait donc créer une agence de cet ordre-là. Au fur et à mesure de nos rencontres, on est tombé sur une personne qui créait une plateforme de financement participatif et on s’est dit qu’il fallait absolument qu’on intègre le webmarketing à notre démarche. Et de fil en aiguille, c’est ce qui est devenu le plus important, avec cette nouvelle économie collaborative qui se développe, cette mutation qui fait que l’usage prime sur la propriété. La 3ème révolution industrielle comme l’appelle Jeremy Rifkin.
Donc on a fait un « Switch », comme ça arrive souvent dans le monde de l’entreprise : on pensait partir du culturel pour aller vers le marketing et finalement on a fait l’inverse, et on s’est tournées aussi vers l’innovation, et le créatif.
Pour ce qui est du nom de notre entreprise, on cherchait un nom un peu féminin, un peu exotique mais pas trop, et un jour je pensais à un personnage de Hayao Myazaki qui s’appelle Nausicaa (dans Nausicaa et la vallée du vent, 1984, NDLR), mais comme on ne pouvait pas l’utiliser tel quel et qu’on tenait à ce qu’il y ai un « x » dans le nom, on l’a tourné à notre sauce et ça a donné Naoxica - le « x » se prononce « s » comme dans « soixante » ☺.
Est-ce que vous avez des critères de sélection pour accompagner des projets ?
Non, la seule condition est que les projets soient suffisamment bien préparés en amont, avant de les accompagner et de lancer la campagne de financement participatif. En ce moment, on travaille avec la plateforme Rezogo, qui a été créée sur Annecy l’année dernière. Actuellement on travaille principalement sur trois projets. Après le projet It Bag qui est terminé et qui a même dépassé son objectif, nous accompagnons Dominique Gay, le photographe de DGC Studio qui a travaillé à la décoration d’intérieur des étages de l’Impérial Palace et qui souhaite développer un site pour vendre ces tableaux photographiques, et enfin un projet avec un marin, navigateur en solitaire, qui a doublé le Cap Horn en presque un an, qui a tenu son blog et qui cherche à éditer son livre.
Est-ce que vous fixez une limite dans les montants à atteindre ?
Non, il n’y a pas de limites, en revanche l’une de nos spécificités est de faire une étude de faisabilité pour chaque projet, donc n’importe quel porteur de projet peut venir nous voir pour faire cette étude et voir si le projet est viable, notamment en fonction du réseau qui l’entoure. Par exemple, on vient de rentrer un projet à plus de 40 000€, dans ce cas-là il faut avoir du monde dans son réseau !
C’est une belle aventure !
Oui, bien sûr, à partir du moment où le porteur du projet a bien conscience de ce que ça implique et de pourquoi on fait ça.
Une campagne de crowdfunding c’est beaucoup de travail il faut jongler avec les réseaux sociaux, la vidéo, le contenu rédactionnel, la stratégie digitale et surtout choisir la plateforme de financement participatif la plus adaptée pour réussir son projet… Et c’est sur ces points là qu’en tant qu’agence conseil nous intervenons, laissant au porteur de projet la possibilité d’utiliser tout son temps et son énergie à mobiliser son réseau.
Est-ce que les campagnes de financement ont une durée fixe ?
Généralement, c’est sur deux mois, mais on s’adapte. Après, tout dépend de la préparation, de la capacité du porteur de projet à mobiliser son réseau, à faire du « teasing » avant le début de la campagne. C’est le nerf de la guerre. Tout part de la « Love money », c’est-à-dire la capacité à solliciter son entourage proche, qui contribue au départ. Et ça, c’est vraiment ce qu’il y a de plus important et quelque chose qu’on ne pourra jamais remplacer. Nous on accompagne, on conseille, on trouve la bonne « punch line », on fait un plan d’action, mais le principal, c’est cette action de mobiliser son réseau par cercles concentriques en partant du plus proche, parce que tant que l’on n’aura pas mobilisé ses proches et ses connaissances, on ne pourra pas toucher les autres. Lorsque la préparation est bien faite, la campagne devient l’aboutissement final, et dans ce cas-là, la durée de campagne peut être plus courte.
Et comment se passent les contributions ?
Il y a quatre manières de contribuer : 1/ le don, donc on remet une somme d’argent simplement pour le plaisir d’aider un projet à aboutir 2/ le prêt d’argent, au sens où l’argent est ensuite remboursé, avec ou sans intérêt (une étude montre que ce système représente 84 Millions d’euros en 2014 !) 3/ l’entrée dans le capital de l’entreprise, donc la somme d’argent vous donne accès à des parts de l’entreprise 4/ le don avec contre-parties, qui est pour l’instant le système que l’on utilise le plus, c’est-à-dire qu’on donne de l’agent avec une contrepartie qui est définie à l’avance en fonction du montant. Ça part du stickers, jusqu’à un système de pré-vente du produit généré par l’entreprise, comme par exemple les caleçons inventés par l’entreprise Duoo® qui est dans le bureau adjacent au nôtre, que nous avons accompagnée pour le lancement de sous-vêtements masculins qui protègent « ce que les hommes ont de plus précieux » des ondes Wifi et des téléphones portables.
Géraldine Gradel : Delphine et moi avons travaillé ensemble pendant 8 ans dans la presse et plus spécifiquement dans la diffusion de la presse : on relayait sur le terrain, donc auprès des marchands de journaux, les actions marketing des éditeurs de presse. L’entreprise dans laquelle nous travaillions a subi une restructuration, c’était le moment pour nous de nous lancer !
Au départ, je viens de la culture, et en 2010, j’ai fait une formation de marketing culturel à Neuchâtel (Suisse) pour faire le lien entre culture et marketing, afin d’axer notre démarche sur l’idée qu’il y a besoin de vendre le produit culturel. On voulait donc créer une agence de cet ordre-là. Au fur et à mesure de nos rencontres, on est tombé sur une personne qui créait une plateforme de financement participatif et on s’est dit qu’il fallait absolument qu’on intègre le webmarketing à notre démarche. Et de fil en aiguille, c’est ce qui est devenu le plus important, avec cette nouvelle économie collaborative qui se développe, cette mutation qui fait que l’usage prime sur la propriété. La 3ème révolution industrielle comme l’appelle Jeremy Rifkin.
Donc on a fait un « Switch », comme ça arrive souvent dans le monde de l’entreprise : on pensait partir du culturel pour aller vers le marketing et finalement on a fait l’inverse, et on s’est tournées aussi vers l’innovation, et le créatif.
Pour ce qui est du nom de notre entreprise, on cherchait un nom un peu féminin, un peu exotique mais pas trop, et un jour je pensais à un personnage de Hayao Myazaki qui s’appelle Nausicaa (dans Nausicaa et la vallée du vent, 1984, NDLR), mais comme on ne pouvait pas l’utiliser tel quel et qu’on tenait à ce qu’il y ai un « x » dans le nom, on l’a tourné à notre sauce et ça a donné Naoxica - le « x » se prononce « s » comme dans « soixante » ☺.
Est-ce que vous avez des critères de sélection pour accompagner des projets ?
Non, la seule condition est que les projets soient suffisamment bien préparés en amont, avant de les accompagner et de lancer la campagne de financement participatif. En ce moment, on travaille avec la plateforme Rezogo, qui a été créée sur Annecy l’année dernière. Actuellement on travaille principalement sur trois projets. Après le projet It Bag qui est terminé et qui a même dépassé son objectif, nous accompagnons Dominique Gay, le photographe de DGC Studio qui a travaillé à la décoration d’intérieur des étages de l’Impérial Palace et qui souhaite développer un site pour vendre ces tableaux photographiques, et enfin un projet avec un marin, navigateur en solitaire, qui a doublé le Cap Horn en presque un an, qui a tenu son blog et qui cherche à éditer son livre.
Est-ce que vous fixez une limite dans les montants à atteindre ?
Non, il n’y a pas de limites, en revanche l’une de nos spécificités est de faire une étude de faisabilité pour chaque projet, donc n’importe quel porteur de projet peut venir nous voir pour faire cette étude et voir si le projet est viable, notamment en fonction du réseau qui l’entoure. Par exemple, on vient de rentrer un projet à plus de 40 000€, dans ce cas-là il faut avoir du monde dans son réseau !
C’est une belle aventure !
Oui, bien sûr, à partir du moment où le porteur du projet a bien conscience de ce que ça implique et de pourquoi on fait ça.
Une campagne de crowdfunding c’est beaucoup de travail il faut jongler avec les réseaux sociaux, la vidéo, le contenu rédactionnel, la stratégie digitale et surtout choisir la plateforme de financement participatif la plus adaptée pour réussir son projet… Et c’est sur ces points là qu’en tant qu’agence conseil nous intervenons, laissant au porteur de projet la possibilité d’utiliser tout son temps et son énergie à mobiliser son réseau.
Est-ce que les campagnes de financement ont une durée fixe ?
Généralement, c’est sur deux mois, mais on s’adapte. Après, tout dépend de la préparation, de la capacité du porteur de projet à mobiliser son réseau, à faire du « teasing » avant le début de la campagne. C’est le nerf de la guerre. Tout part de la « Love money », c’est-à-dire la capacité à solliciter son entourage proche, qui contribue au départ. Et ça, c’est vraiment ce qu’il y a de plus important et quelque chose qu’on ne pourra jamais remplacer. Nous on accompagne, on conseille, on trouve la bonne « punch line », on fait un plan d’action, mais le principal, c’est cette action de mobiliser son réseau par cercles concentriques en partant du plus proche, parce que tant que l’on n’aura pas mobilisé ses proches et ses connaissances, on ne pourra pas toucher les autres. Lorsque la préparation est bien faite, la campagne devient l’aboutissement final, et dans ce cas-là, la durée de campagne peut être plus courte.
Et comment se passent les contributions ?
Il y a quatre manières de contribuer : 1/ le don, donc on remet une somme d’argent simplement pour le plaisir d’aider un projet à aboutir 2/ le prêt d’argent, au sens où l’argent est ensuite remboursé, avec ou sans intérêt (une étude montre que ce système représente 84 Millions d’euros en 2014 !) 3/ l’entrée dans le capital de l’entreprise, donc la somme d’argent vous donne accès à des parts de l’entreprise 4/ le don avec contre-parties, qui est pour l’instant le système que l’on utilise le plus, c’est-à-dire qu’on donne de l’agent avec une contrepartie qui est définie à l’avance en fonction du montant. Ça part du stickers, jusqu’à un système de pré-vente du produit généré par l’entreprise, comme par exemple les caleçons inventés par l’entreprise Duoo® qui est dans le bureau adjacent au nôtre, que nous avons accompagnée pour le lancement de sous-vêtements masculins qui protègent « ce que les hommes ont de plus précieux » des ondes Wifi et des téléphones portables.
Hier soir, lors de l’inauguration de la pépinière d’entreprises des Papeteries à Cran-Gevrier, on a rencontré le jeune homme à l’origine de l’application Okiwi et j’ai vu qu’il faisait parti de vos partenaires, est-ce que vous conservez des liens avec les projets que vous avez soutenus ?
Oui c’est sûr que pour nous ça peut être très frustrant parce qu’on lance les projets, et ensuite, ils continuent leur route sans nous ! Mais généralement on reste en contact, on se suit mutuellement. Concernant Okiwi, on ne les a pas accompagnés sur du financement participatif, mais on travaille ensemble puisque on propose des cartes de remerciements pour celles et ceux qui ont contribué à un financement, et c’est là qu’Okiwi intervient puisque c’est une application qui permet d’imprimer rapidement et facilement des photos et des cartes postales depuis n’importe où.
Vous revendiquez sur votre site « oser le marketing culturel », en quoi la formule est-elle problématique ?
La formule n’est pas de moi mais du site Oser le marketing culturel. C’est déjà oser associer les deux mots, parce que le marketing, c’est du chiffre, de l’argent, ça paraît éloigné de la culture, alors que la culture a besoin d’argent pour vivre, qu’il faut savoir se vendre pour trouver son public donc on a mené une réflexion autour de ça. Si on prend l’exemple d’un musée, la démarche pédagogique reste évidemment importante, mais il faut aussi savoir trouver son public, l’écouter, lui proposer d’autres services.
Vous proposez aussi des formations ?
Oui, c’est une partie qui coule un peu de source lorsqu’on a une agence parce qu’on apprend tellement de choses qu’on essaie de les transmettre et de voir comment ça peut ouvrir à d’autres compétences. La première formation qu’on propose se fait en partenariat avec Zeens (www.zeens.fr) et le CEFOREP pour proposer une formation « Web to Shop » aux marchands de journaux. Comme on vient de ce milieu et que mon associée a une expérience très riche de responsable de magasin, on a voulu sensibiliser les gens sur la question de la visibilité sur le web (le référencement, l’utilisation des réseaux sociaux, etc.) donc emmener les marchands de journaux vers le digital. La deuxième formation qui est en cours concerne cette fois le Crowdfunding et qui s’adresse à une grande variété d’entreprises. Sur ce point on s’est rendu compte qu’il y avait beaucoup d’incompréhensions. Les gens connaissent un petit peu, comprennent vaguement, mais pensent que c’est une donation comme on le ferait pour le Téléthon, donc il y a un flou. Notre objectif est de faire mieux connaître le financement participatif, mieux l’expliquer pour pouvoir donner la possibilité à des porteurs de projets de se lancer. Ces deux pôles, le webmarketing et le crowdfunding, forment la base de notre entreprise.
Une dernière chose à ajouter ?
Oui, quelque chose qui me tient à cœur, c’est de dire qu’on avait la possibilité d’être ailleurs mais on a tenu à faire partie de la pépinière Galiléo, mise en place par l’agglomération d’Annecy, parce qu’on est vraiment dans une super dynamique. Nous sommes deux dans notre entreprise, mais être au sein de Galiléo nous permet véritablement de travailler en équipe avec les autres entreprises présentes ici : un graphiste, l’entreprise de développement web qui va s’occuper du développement de l’application d’un client, donc on est vraiment comme une grande entreprise avec plusieurs services. Ça nous permet d’avoir des cordes à notre arc qu’on n’aurait jamais soupçonnées. C’est une vraie chance pour nous d’être dans une dynamique aussi innovante.
Merci Géraldine.
www.naoxica.com
Oui c’est sûr que pour nous ça peut être très frustrant parce qu’on lance les projets, et ensuite, ils continuent leur route sans nous ! Mais généralement on reste en contact, on se suit mutuellement. Concernant Okiwi, on ne les a pas accompagnés sur du financement participatif, mais on travaille ensemble puisque on propose des cartes de remerciements pour celles et ceux qui ont contribué à un financement, et c’est là qu’Okiwi intervient puisque c’est une application qui permet d’imprimer rapidement et facilement des photos et des cartes postales depuis n’importe où.
Vous revendiquez sur votre site « oser le marketing culturel », en quoi la formule est-elle problématique ?
La formule n’est pas de moi mais du site Oser le marketing culturel. C’est déjà oser associer les deux mots, parce que le marketing, c’est du chiffre, de l’argent, ça paraît éloigné de la culture, alors que la culture a besoin d’argent pour vivre, qu’il faut savoir se vendre pour trouver son public donc on a mené une réflexion autour de ça. Si on prend l’exemple d’un musée, la démarche pédagogique reste évidemment importante, mais il faut aussi savoir trouver son public, l’écouter, lui proposer d’autres services.
Vous proposez aussi des formations ?
Oui, c’est une partie qui coule un peu de source lorsqu’on a une agence parce qu’on apprend tellement de choses qu’on essaie de les transmettre et de voir comment ça peut ouvrir à d’autres compétences. La première formation qu’on propose se fait en partenariat avec Zeens (www.zeens.fr) et le CEFOREP pour proposer une formation « Web to Shop » aux marchands de journaux. Comme on vient de ce milieu et que mon associée a une expérience très riche de responsable de magasin, on a voulu sensibiliser les gens sur la question de la visibilité sur le web (le référencement, l’utilisation des réseaux sociaux, etc.) donc emmener les marchands de journaux vers le digital. La deuxième formation qui est en cours concerne cette fois le Crowdfunding et qui s’adresse à une grande variété d’entreprises. Sur ce point on s’est rendu compte qu’il y avait beaucoup d’incompréhensions. Les gens connaissent un petit peu, comprennent vaguement, mais pensent que c’est une donation comme on le ferait pour le Téléthon, donc il y a un flou. Notre objectif est de faire mieux connaître le financement participatif, mieux l’expliquer pour pouvoir donner la possibilité à des porteurs de projets de se lancer. Ces deux pôles, le webmarketing et le crowdfunding, forment la base de notre entreprise.
Une dernière chose à ajouter ?
Oui, quelque chose qui me tient à cœur, c’est de dire qu’on avait la possibilité d’être ailleurs mais on a tenu à faire partie de la pépinière Galiléo, mise en place par l’agglomération d’Annecy, parce qu’on est vraiment dans une super dynamique. Nous sommes deux dans notre entreprise, mais être au sein de Galiléo nous permet véritablement de travailler en équipe avec les autres entreprises présentes ici : un graphiste, l’entreprise de développement web qui va s’occuper du développement de l’application d’un client, donc on est vraiment comme une grande entreprise avec plusieurs services. Ça nous permet d’avoir des cordes à notre arc qu’on n’aurait jamais soupçonnées. C’est une vraie chance pour nous d’être dans une dynamique aussi innovante.
Merci Géraldine.
www.naoxica.com