Articles similaires...
-
Exposition Brancusi au Centre Pompidou : rétrospection sur l'artiste
-
En jeu ! Les Artistes et le Sport, la nouvelle exposition musée Marmottan-Monet pour attendre les JO
-
La Collection Revoir Picasso au Musée Picasso-Paris, une Nouvelle Ère
-
Exposition The Met au Louvre à Paris : un dialogue d'antiquités orientales
-
L'Exposition Johnny Hallyday Rallume le Feu de la Star à Paris
Une bonne dose d’humour et d’autodérision.
L’autodérision étant le véhicule qui consomme le moins tout en transportant très loin, il faut donc saluer la démarche écologique de l’artiste.
Celui-ci, sorte de Saint Sébastien, s’affiche à nos regards qui percent sa nudité et voient bien au-delà de la fragilité testiculaire qui, échappant à l’emballage, n’est pas sans rappeler Reiser et traduit la douce dérision qui l’habite.
La fraîcheur des antiquités exposées, le déballage mycologique, l’approche bio de la peinture archimboldienne, l’écoute du message divin grâce aux deux hémisphères d’une tomate cœur-de-bœuf surdopée, le rêve de notre petit bonhomme tout nu juché sur la sensualité d’un genou féminin (genou qui, à cause de ou grâce à la réforme de l’orthographe, devrait pouvoir s’écrire désormais au pluriel avec un s et non plus le fameux X à connotation pornographique )…tout ceci ravit le regard et l’esprit par sa belle énergie et son humour.
L’autodérision étant le véhicule qui consomme le moins tout en transportant très loin, il faut donc saluer la démarche écologique de l’artiste.
Celui-ci, sorte de Saint Sébastien, s’affiche à nos regards qui percent sa nudité et voient bien au-delà de la fragilité testiculaire qui, échappant à l’emballage, n’est pas sans rappeler Reiser et traduit la douce dérision qui l’habite.
La fraîcheur des antiquités exposées, le déballage mycologique, l’approche bio de la peinture archimboldienne, l’écoute du message divin grâce aux deux hémisphères d’une tomate cœur-de-bœuf surdopée, le rêve de notre petit bonhomme tout nu juché sur la sensualité d’un genou féminin (genou qui, à cause de ou grâce à la réforme de l’orthographe, devrait pouvoir s’écrire désormais au pluriel avec un s et non plus le fameux X à connotation pornographique )…tout ceci ravit le regard et l’esprit par sa belle énergie et son humour.